Il y a quelques années, le poète Guillevic a écrit ‘ Car on tue dans le monde, et tout massacre nous vieillit’
Permettez à l’octogénaire que je suis d’exprimer la souffrance toujours aussi neuve qui l’étreint à l’énoncé de la litanie quotidienne des massacres.
Puisse un sursaut général rendre par la négociation son pays, sa terre au peuple palestinien. Puissent les peuples palestiniens et israéliens en trouver la voie et les moyens et finir par s’entendre à égalité, librement et directement.
Puissent les chroniques de la douleur palestinienne devenir chants d’apothéose et des jardins de vie comme le prophétise Darwich.
Guillevic (1988)
lundi 5 janvier 2009
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