jeudi 30 décembre 2010

Voeux 2011 par Marc BORNECK


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samedi 11 décembre 2010

Bonnes fêtes à tous !

Nous sommes pour la plupart bien occupés par l'organisation des fêtes de fin d'année. Les rues s'illuminent, la place Nationale s’anime, on s’attarde à chaque chalet du marché de Noël, on s'exerce aux joies du patinage, les enfants s’amusent et s’émerveillent. Tout ne devrait être que joie et sérénité pour tous !

Dans cette agitation, nous avons bien du mal à entendre ceux pour qui cette frénésie n'est pas de mise et que nous ne devons pas oublier. Ceux qui, exilés, sans abri, seuls, en difficulté, en conflit, ne partagent pas ces préparatifs tout en couleurs.

Si au rouge agressif de Noël se substitue le vert tendre de Noël couleur de l’espérance, à Dole, c’est en partie grâce aux associations caritatives, qu’elles en soient remerciées.

Grâce aux bénévoles de l'ombre , nous pouvons souhaiter à tous et à toutes, de bonnes fêtes de fin d’année !

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Nous voulons un parc national dans le nord Jura !

Je tiens à préciser et rassurer les secteurs d’activité de notre région sur les contraintes des zones classées « parcs nationaux », suite aux différents discours qui n’ont vocation que d’agiter les esprits sur un blocage total de cette zone.
Définition des parcs nationaux :
« Les parcs nationaux français sont des combinaisons d’espaces remarquables, d’une biodiversité protégée et d’un mode de gestion qui leur permet d’en préserver les richesses. Ils sont marqués par une forte volonté de concilier la protection de la nature et le développement des activités humaines, dans le respect des usages et des traditions. »

Se battre pour préserver un territoire, ne réside pas seulement dans le fait de préserver coûte que coûte les pratiques humaines sans faire la distinction entre mauvaises ou bonnes. Cela réside aussi dans la vision que nous avons du territoire à des décennies, de ce que sera devenu ce territoire si nous continuons à le gérer sans tenir compte de ce que dame nature nous offre. Je parle en terme de développement durable.

C’est un privilège pour un territoire que d’être choisi pour entrer dans la famille des « parcs nationaux » qui bénéficient tous d’une reconnaissance internationale. Car il n’en existe que 2 300 à travers le monde.

Alors en terme d’avenir, que faut-il choisir pour ce territoire ? Le développement économique tel que nous le connaissons actuellement, ou le rayonnement international accompagné des moyens humains et financiers non négligeables alloués à ce type de territoire pour répondre aux enjeux de protection et de développement durable.

Isabelle NOUVELLON

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samedi 4 décembre 2010

Corruption active ? ou simple retour d’ascenseur …

Le 26 octobre dernier un groupe d’invités de Dominique Troncin, conseiller général du canton en quête du renouvellement de son mandat dans les mois prochains, découvrait le Conseil Général à Lons. En finançant ce déplacement en bus, la société des carrières de Moissey a parfaitement bien misé ses deniers. Moins d’un mois plus tard, ce ne sont pas moins que le président du Conseil Général du Jura, Jean Raquin, et le député de la circonscription, Jean Marie Sermier, qui arpentaient en personne le carreau de la carrière (désaffectée depuis l’arrêt de l’exploitation fin 2009). « La carrière doit vivre » exprimait la banderole tenue par nos élus complaisants devant les photographes. Tant pis si par clientélisme, ils leur faut faire aujourd’hui pression sur les représentants de l’État, au mépris des procédures d’instruction qu’exigent pourtant les installations classées au titre de la protection de l’environnement … Il faut dire que les mêmes enragés du patrimoine local viennent de formuler un avis négatif pour l’ouverture d’un parc naturel national zone humide sur le nord Jura. Alors la préservation du site Natura 2000 Massif de la Serre, vous pensez !
Serre Vivante veillera dans tous les cas au respect des lois de protection de la nature et demeure vigilante sur les projets impactant la biodiversité. Les porteurs de projets privés (ou publics), en s’appuyant sur des logiques de rentabilité financière à court terme, oublient, bien souvent, que les espaces naturels et les espèces qui les composent sont notre «assurance vie» pour les générations actuelles et futures.

Pascal BLAIN, président de Serre Vivante

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mercredi 24 novembre 2010

Inauguration plateforme de déballage


Samedi 20 novembre 10, nous avons inauguré la plateforme de déballage du magasin Cora de Choisey, à l'initiative de serre vivante.
Serre Vivante a en effet proposé à M. Jean-Christophe Hertzog, directeur du magasin, d’offrir à sa clientèle la possibilité d'enlever tout emballage superflu sur le lieu même de l’achat et de le laisser sur place. Cette démarche de sensibilisation en faveur du tri sélectif permettra aussi de faire prendre conscience à chacun de l'inutilité de certains emballages et de la nécessité de leur réduction.

Cette opération est une première régionale qui mérite vraiment d’être mise en relief car elle démontre combien la coopération entre collectivités de notre territoire (SICTOM, SYDOM, Agglo, ville), associations (Serre Vivante-JNE-FNE) et entreprises privées peut être efficace pour faire avancer le développement durable.

Pour l’enseigne, il ne s’agit pas d’une simple opération de communication ponctuelle de quelques jours mais bien de proposer un nouveau service aux consommateurs, devançant en cela la loi avant qu’elle n’impose aux grandes surfaces l’installation de plateformes de déballage en sortie de caisses.
BRAVO !!

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dimanche 21 novembre 2010

"Ras-le-bol" des inégalités.

Depuis quelques mois, notre pays est soumis à des tensions sociales, dont la
dernière manifestation nationale a eu lieu samedi 6 novembre. Elles sont
l'expression d'un "ras-le-bol" généralisé. En effet, les mouvements sociaux
ont été soutenus par une majorité de Français.

Que révèlent-ils ? Qu'exprime ce mal aise général ?

Chacun sait que notre système de retraite doit être repensé (réformé ?).
Alors pourquoi cette forte contestation ?

Il nous semble que le principal problème posé par la réforme du gouvernement
est l'oubli de l'équité, et ce, à 2 niveaux.

D'une part, l'essentiel de l'effort est, encore une fois serait-on tenté de
dire, supporté par le travailleur, cet être indispensable à la production
est donc à la création de richesses. Pour produire, il faut également des
machines, c'est-à-dire du capital. Mais là, aucun effort n'a été demandé aux
entreprises pour soutenir le système de retraire de ses salariés. Et c'est
là qui le bât blesse. Cette réforme est donc entachée d'une première
injustice.

D'autre part, certes, l'espérance de vie à 35 ans a augmenté de trois ans en
moyenne entre la fin des années 70 et les années 90. A 35 ans, un cadre
pouvait espérer vivre 46 ans et un ouvrier 39 ans selon les conditions de
mortalité de la fin des années 90. En outre, Un cadre reçoit un montant
total de pensions de retraite - cumulé tout au long de sa vie - trois fois
plus élevé qu'un ouvrier. La réforme des retraites va accroître encore les
inégalités en la matière.

La question fondamentale qui se pose est celle du lien entre la pénibilité
du travail, l'espérance de vie et la durée de cotisation.

Si l'on ajoute à cela les affaires Bettencourt-Woerth, de Jean Sarkozy à la
nomination de l'EPAD, le bouclier fiscal, l'utilisation de jet privé par des
ministres , le permis de construire jugé illégal pour une maison d'Alain
Joyandet,...

On comprend ce "ras-le-bol" généralisé des inégalités.

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samedi 30 octobre 2010

Jour de la nuit : moins d'éclairage


Marc Borneck, chargé de la maîtrise de l'énergie à Dole, accompagné d'Isabelle Nouvellon, ont organisé la deuxième manifestation du jour de la nuit, ce 30 octobre 2010.
Afin de sensibiliser, et prouver qu'avec moins d'éclairage sur certains points de la ville, la sécurité de nuit n'est pas remise en cause, ce WE seront éteints certains monuments ainsi qu'une partie du pont de la corniche.
Malheureusement, à l'heure où j'écris ces lignes, le temps maussade ne nous permettra sans doute pas d'assurer les animations prévues : sortie nature à la tombée de la nuit et observation du ciel (qui sera sans doute bouché). RDV quand même pour une discussion à 20 H sur le parvis de la médiathèque.
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Nos interventions au conseil d'Agglo du Grand Dole le 7 octobre 2010

Suite à l'intervention d'un élu de Sampans sur le projet de lotissement de 36 maisons sur sa commune, Isabelle NOUVELLON, élue verte de Dole, explique qu’elle entend les petits villages. Mais elle souhaite attirer l’attention sur l’étalement urbain, même en zone rurale. Cet étalement amène à la disparition des terres agricoles. Elle fait allusion aux nombreuses maisons abandonnées en coeur de village qui pourraient être réhabilitées.
Un élu agriculteur remarque qu’il serait intéressant de mettre cette politique de préservation des terres agricoles également pour les zones industrielles / commerciales. Cependant il remarque qu’en général on a rarement de critiques sur ce sujet.

Isabelle NOUVELLON interpelle le Président sur la reconstruction des bâtiments du Golf du Val d’Amour. (ligne budgétaire de mission de maîtrise d'oeuvre, de diagnostic préalable, de conception et de suivi de la réalisation du projet de rénovation, destruction, reconstruction des bâtiments du golf pour 60 268 €).
Claude Chalon, président de l'agglo, rappelle qu'il s'agit là de l'étude qui précède une demande de remise aux normes du golf (bâtiment, eau potable), car les locaux sont vétustes et très inconfortables pour les agents, ils sont hors normes. Que le montant global de ce projet de reconstruction est de l'ordre de 700 000 euros budgétés sur plusieurs années, et a fait l'objet d'une demande de fonds au conseil général dans le cadre des EDAT.

Franck DAVID, vice président environnement, répond sur le plan d'élimination de plantes invasives, que la ligne budgétaire présentée concerne une opération d’arrachage de la Jussie sur le le site du Golf.

Isabelle NOUVELLON, au nom du groupe des élus Verts-Europe Ecologie, précise qu'en cohérence avec leur vote de juin dernier, ils restent toujours contre l'apport financier de la collectivité aux projets LGV, mais en tant que responsables, ils voteront pour l’adoption du budget supplémentaire.
Marc BORNECK, vice-président vert chargé du développement durable de l'agglo, réaffirme cette intention de vote et son opposition sur la LGV, en précisant que vote pour ne vaut pas chèque en blanc. Que de plus en plus d’élus rejoignent les citoyens qui émettaient des réserves sur cette ligne. Aujourd’hui, c’est à ses yeux un projet qui ne va pas bien, et espère prochainement de nouveaux débats.
Claude Chalon précise que ce soir il s'agit de la branche Est et non de la branche Sud.

Sur le dossier de procédure DSP du SPAN et la mise en place de la commission d'ouverture des plis, Jean Claude LAMBERT, élu vert de Romange, précise que le groupe de pilotage SPANC dont il est membre est légitime pour rédiger le cahier des charges à venir pour la DSP. Il ajoute qu’il faut essayer d’élargir le territoire aux communes voisines, pas seulement dans le Grand Dole. Il souhaite la participation du service eau et assainissement du Conseil Général à la commission pour apporter des conseils dans le groupe de réflexion.
Monsieur Marc BORNECK indique qu’il est contre cette DSP. Il et met en garde sur les amendes à venir car la directive européenne cadre sur l’eau devra être appliquée concernant le bon état des eaux de surface et des eaux souterraines dès 2015.

Suite à l'intervention du maire de Monnières sur les bus qui roulent à vide, Claude Chalon, président de l'agglo rappelle qu'il y a 3800 personnes par jour (hors scolaires) qui utilisent le bus et qu'il est normal que sur un réseau cadencé, il y ait des bus plus ou moins remplis.
Dominique Fella, élu vert de Dole, souligne que sur la ligne « Duhamel » justement le problème est inverse, car à certaines heures, il y a trop de personnes pour un bus.

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vendredi 15 octobre 2010

M. Sermier rêve d’être calife à la place du calife en se rasant le matin.

En réponse à l'article du progrès de ce vendredi 15 octobre : interview de M. Sermier.
M. Sermier semble anticiper les prochaines élections municipales, il se vit (et se croît) à la tête de la mairie de Dole. Il nous annonce qu’il continuera à s’opposer au projet d’implantation du commissariat près du centre ville, et ce malgré, d’une part, le projet de l’équipe municipale en place (garder le commissariat en centre ville et rassembler les acteurs publics au sein d’une « cité administrative ») et d’autre part, l’opposition du commandant de gendarmerie.

Il se croit à la place de l’adjoint à l’urbanisme et décide, sans que personne ne lui ait rien demandé, de l’implantation des infrastructures sur la ville de Dole. Au nom de quelle idée, de quel projet cet audace ?

Parce que nous sommes démocrates, nous sommes respectueux du mandat des élus, nous laissons le maire de Cramans et le président du Val d’Amour décider de l’implantation des infrastructures sur son territoire.

Avec le cumul de tous ses mandats (Maire de Cramans, président de la communauté du Val d’Amour, conseiller général, député,…) n’a-t-il pas assez à faire pour aussi vouloir gérer la ville de Dole ? Cette « guéguerre » qu’il mène contre la ville de Dole est stérile et vaine.

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jeudi 14 octobre 2010

Réforme des retraites pas pour tous !

Par un vote du 3/10/2010, les députés ont rejeté à la quasi-unanimité l’amendement n°249 Rect. proposant d'aligner leur régime spécifique de retraite (dont bénéficient également les membres du gouvernement) sur le régime général des salariés.
Cet amendement a été présenté par les députés Verts-Europe Ecologie : M. de Rugy, M. Yves Cochet, M. Mamère et Mme Poursinoff.
Alors que le gouvernement et les députés n'ont de cesse d'expliquer l’importance de réformer rapidement un régime de retraite en déficit, les parlementaires refusent donc d’être soumis au régime de retraite de la majorité des Français. C'est ce qu'ils appellent une réforme "juste" paraît-il!

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mercredi 13 octobre 2010

Réforme fiscale, réforme territoriale : la casse sociale

Les Centre communaux et intercommunaux d’actions sociales en danger

Le 63ème congrès de l'Union nationale des centres communaux et intercommunaux d'actions sociales (UNCCAS) s'est déroulé les 6 et 7 octobre à Dijon. Les élu/es écologistes, membres de la FEVE présent/es lors de cette manifestation s'inquiètent des effets prévisibles de la réforme des collectivités territoriales sur ces structures.

En privant de précieux moyens d'actions les Régions mais aussi les Départements qui ont des compétences en matière de handicap, de personnes âgées et de solidarité, la réforme territoriale et fiscale défendue par le gouvernement fera porter l’entière responsabilité de la clause de compétences générales sur les communes. Celles-ci se voient ainsi privées de ses partenaires habituels : elles devront donc assumer seules les situations de précarité et de paupérisation accélérée d'une partie de la population.
Sous couvert d'équilibre budgétaire, il y a une propagande bien orchestrée sur le dérapage des dépenses de l'Etat, dont un des signes les plus manifestes aura été l’instauration d’un bouclier fiscal bénéficiant à une minorité fortunée.
La réforme des collectivités territoriales et celle de la fiscalité sont une régression pour la démocratie (parité, représentation des habitants, pluralisme politique). Elles ont également des conséquences très concrètes sur le devenir des CCAS et CIAS. Les risques sont multiples :
- Abandon de la justice sociale et de la solidarité avec le retour à la bienfaisance, voire la charité bien pensante ;
- Accentuation des inégalités territoriales ;
- Détricotage du tissu social issu du programme de la Résistance «Les jours heureux » de 1944 élaboré dans un contexte autrement différent et plus difficile qu'actuellement ;
- Développement de l'individualisation de la prise en charge;
- Ouverture à l'assurance privée individuelle ;
- Bouclier social minimum de l'Etat pour les laissés pour compte.

La FEVE entend maintenir les systèmes de solidarités par le développement des intercommunalités de façon à créer des CIAS en lien avec des bassins de vie. Les questions de handicap et de dépendances doivent être traitées collectivement au même titre que la maternité et la maladie. Il faut pour cela des financements dédiés et pérennes.
Les élus écologistes défendent l’idée d’une solidarité des territoires, qui passe par la péréquation assumée collectivement. Pour cela, il faut asseoir la taxe professionnelle et la taxe d'habitation à l'échelle intercommunale.
Les élu/es Verts et Ecologistes sont engagé/es pour faire valoir les politiques de solidarité et de justice sociale en lien avec les valeurs qu'elles et ils incarnent au quotidien de par leur mandat.

Par les membres de la Fédération des Elu/es Verts et Ecologistes

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lundi 11 octobre 2010

Qualité de l’eau, nous sommes tous responsables !

Depuis des semaines, les conseillers municipaux écologistes se sont penchés sur la qualité de l’eau fournie aux dolois. Certes, si la qualité bactériologique est aujourd’hui très bonne, nous devons encore et encore l’améliorer d’un point de vue chimique.
Il est prouvé depuis longtemps que les pollutions chimiques sont dues pour partie par des intrants utilisés par des agriculteurs ou des jardiniers amateurs, mais aussi, ne l’oublions pas, par les phosphates présents dans nos lessives, savons… Nous devons donc tous faire des efforts pour améliorer cette qualité.
Cela vaut bien sûr pour le type d’agriculture autour des puits de captage, mais aussi de façon plus large sur la mise en place d’un vrai service public d’assainissement non collectif (traitement des rejets ménagers) géré par l’agglomération du grand Dole.
Rappelons que dès 2015 la Directive Cadre Eau Européenne saura nous sanctionner financièrement si nos eaux de surface comme nos eaux souterraines n’ont pas les qualités requises.

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mercredi 6 octobre 2010

Dominique FELLA et un de +


Depuis le conseil municipal de septembre 2010, les élus Verts de la ville de Dole sont désormais cinq.
En effet, suite à la démission d'une adjointe, Dominique Fella (suivant de liste) a été nommé conseiller municipal.
Bienvenu à notre nouvel élu, et bon courage !
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"Le jour de la nuit" RDV le 30 octobre


Pour la seconde année, les élus Verts s'agitent afin d'organiser "le jour de la nuit" qui aura lieu le 30 octobre prochain.
Au programme : extinction de certains bâtiments publics
18 heures : RDV devant les arquebusiers avec Didier Lavrut (LPO) qui vous fera découvrir la faune nocturne sur la prairie d'Assaut
20 heures : RDV devant la médiathèque avec le club d'astronomie pour regarder les étoiles (espérons un ciel dégagé).
Egalement devant la médiathèque : ceux intéressés point de départ pour visite (rue de la Dame Verte) et explications de Marc Borneck sur le changement des lampadaires par des leds.
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Inauguration : 1er jardin bio partagé en ville

Depuis plus d'un an, l'association "un jardin bio en ville" s'active pour trouver des terrains et les mettre à disposition de "jardiniers amateurs". Voici le premier terrain occupé par 12 personnes qui, selon la charte, cultivent "bio" leurs jardins. C'est un espace partagé où règnent une convivialité et des échanges de procédés, semences....
La ville a fait installer une cabane pour les outils, ainsi que table et bancs où les occupants se retrouvent régulièrement pour déguster des plats issus de leur production.
L'association reçoit une multitude de demandes, et la recherche d'autres terrains sur d'autres quartiers est toujours d'actualité.
Grâce à elle, le projet : un quartier = un jardin, se met en place.
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lundi 12 juillet 2010

Vous ne m'avez pas élu. Vous allez le payer !

Lors du dernier conseil municipal, nous avons instauré une nouvelle taxe : la TLPE (taxe locale sur la publicité extérieure).

Issue du Grenelle de l'environnement, la TLPE a remplacé les trois taxes communales facultatives sur la publicité qui existaient : La taxe sur la publicité frappant les affiches, réclames et enseignes lumineuses, ou taxe sur les affiches ; La taxe sur les emplacements publicitaires fixes ; La taxe sur les véhicules publicitaires.

Cette taxe frappe désormais les dispositifs suivants, visibles de toute voie ouverte à la circulation publique : Les dispositifs publicitaires (en dehors des enseignes et pré-enseignes) : toute inscription, forme ou image, destinée à informer le public ou attirer son attention, et les dispositifs dont le principal objet est de recevoir lesdites inscriptions ; Les enseignes : toute inscription, forme ou image apposée sur un immeuble et relative à une activité qui s'y exerce ; Les pré-enseignes : toute inscription forme ou image indiquant la proximité d'un immeuble où s'exerce une activité déterminée.

L'objectif de la loi est la réduction de la pollution visuelle : il s'agit d'une taxe visant à réduire l'affichage. Une entreprise qui réduit son affichage, va réduire de façon substantielle sa taxe. La plupart des commerces ne seront pas taxés car leurs dispositifs d'affichage sont inférieurs à 7 mètres carrés.
La loi a été construite de telle manière que les commerces des centres-villes échappent à cette taxe.
Nous avons décidé de respecter l'esprit de la loi lors de son application sur notre ville. Nous avons donc pris la décision d'appliquer cette taxe pour lutter contre la pollution visuelle tout en veillant à ce que les petits commerçants du centre ville échappent à cette taxe.

Lors du dernier conseil municipal, l'opposition, emmenée par le sénateur, a voté contre l'instauration de cette taxe. On se doit ici de souligner l'incohérence du vote de notre sénateur. En effet, il a voté à Paris pour la création de cette nouvelle taxe, et voici qu'à Dole il vote contre son application. Cette attitude est révélatrice d'une volonté de s'opposer systématiquement à tout projet de notre majorité.

L'énergie déployée par notre sénateur pour éviter que le commissariat s'implante au plus près du centre ville relève de la même propension à nuire aux projets cohérents que nous construisons.

Lors de son dernier mandat, l'ancien maire, avait proposé à l'Etat un terrain situé aux Epenottes pour le futur commissariat. Nous avions dénoncé cette façon de faire, jugeant qu'un commissariat ne doit pas se trouver trop loin du centre ville.

L'actuel maire de Dole a donc modifié ce projet et proposé à l'Etat un terrain en face de la mairie. Cette proposition s'inscrivait dans un projet urbanistique cohérent, puisqu'il s'agissait de créer un type de cité administrative. Lors de la proposition de terrain, l'Etat était enthousiaste face à ce projet.

Mais notre député et notre sénateur, sans en aviser le premier concerné par ce projet, c'est-à-dire le maire de Dole, sont allé rencontrer le ministre de l'intérieur pour contrer notre proposition et convaincre l'Etat qu'il fallait implanter ce commissariat ailleurs que près du centre ville.

La polémique autour du gymnase que nous voulons construire pour tous les dolois, car ce projet s'inscrit lui aussi dans une réflexion globale, même si le collège de l'Arc en restera l'occupant prioritaire, fait l'objet des mêmes blocages de la part de la droite jurassienne.

On sait que la vengeance est un plat qui se mange froid. On a le sentiment que la défaite aux dernières municipales n'est pas digérée et que tout ce qui peut nous empêcher de réussir sera utilisé par l'opposition. Ces actes sont si flagrants qu'on pourrait entendre : "vous ne m'avez pas élu, vous allez le payer."

La grandeur des hommes politiques n'est-elle pas dans le fait d'œuvrer ensemble pour l'intérêt des citoyens ?

Le groupe des Verts

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lundi 31 mai 2010

Fête du vélo : balade du samedi 5 juin

LE COLLECTIF DES USAGERS DU VÉLO DE DOLE ET SES ENVIRONS organise une balade vélo : SAMEDI 5 JUIN 2010 à 14h30 Rendez vous parvis de La Commanderie départ à 15h

Découverte d’un parcours urbain astucieux et parallèle aux grands axes routiers.

ITINERAIRE :
Départ Rond point, Rues prairies, Fenottes, Barthélémy,
chemin des pêcheurs, Montciel, de la proie, de Chaux, Ledoux, rue du Val d’Amour,
forêt de Chaux par la route du gd contour et chien pendu, centre équestre, rues de Bizard, Muguet, Val d’Amour,
M.Juin, rue J.Feuvrier,
La Commanderie /16h30.


CONSEILS
Vélo à vérifier : freins, vitesses, sonnette…..
Porter des vêtements de couleurs visibles, le gilet jaune est la meilleure solution….
Le casque bien réglé par son serrage
Conduite à droite, et prévenir si changement de direction. Distance avec le cycliste précédent
Respect du code de la route, arrêt au feu rouge et pied à terre au stop…..

OBJECTIFS du COLLECTIF des USAGERS du VÉLO de DOLE
 Encourager la pratique du vélo dans les déplacements quotidiens
et de loisirs
 Permettre aux citoyens de se retrouver et de partager leurs expériences,
identifier les attentes et les répercuter auprès des collectivités.
 Proposer des aménagements de stationnement et de circulation,
pour faciliter et sécuriser les déplacements à vélo,
en complément des autres modes de transport,
Mail : contact@mjcdole.com

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vendredi 21 mai 2010

Tout en couleur !


De magnifiques découvertes que nous fait partager Didier Lavrut (LPO).
Nichant à proximité de Dole, ces guépiers venus d'Afrique, sont magnifiques et les photos aussi.
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lundi 17 mai 2010

Abeilles suite : Marc Borneck

Suite à l'appel au secours de Patrice Cahé, apiculteur à Azans, je me suis rendu sur son exploitation pour constaté l'étendu de ce qu'on peut appelé une catastrophe.
Navrant spectacle que de voir ces milliers d'abeilles mortes devant ses ruches. Nul doute qu'il s'agit bien là d'une intoxication, les comportements des abeilles, la rapidité avec laquelle celles-ci sont mortes et la force des ruches (taille du couvain et nombre de cadres de couvain) impactées.
A cette heure il ne peut y avoir qu'un faisceau de présomptions, il est toujours difficile d'apporter des preuves parce que les analyses des cadavres sont longues et couteuses (un seul laboratoire en France me semble t-il) et il est difficile de déterminer qui a utilisé un produit dangereux pour l'abeille.
Mais Patrice avait filmé ses ruches un jour où un agriculteur pratiquait un "sulfatage", on entend très bien la turbine au loin.
Cet agriculteur a été rencontré et a précisé avoir semé du maïs traité au Cruiser. Outre la dangerosité de la molécule utilisée, les conditions même des semailles est probablement à mettre en cause : sol trop sec, vent, possible utilisation d'un semoir pneumatique.
Bien entendu celui-ci se défausse.
Il est à noter que Patrice a rencontré une habitante d'Azans qui lui a dit avoir vu "sa" nichée d'hirondelles mortes le même jour, on sait que la disparition des hirondelles est due pour l'essentiel aux insecticides.
D'autre apiculteurs du secteur sont visiblement dans le même cas que Patrice.

Par ailleurs il est proprement scandaleux que Patrice n'ait pas reçu plus de considération de la part des services de police et de gendarmerie (excepté la police municipale) qui ont refusé d'enregistrer plainte ou main courante. Quant à l'incurie de l'Etat à travers ses services (Direction des Services Vétérinaires ...) !

Comme l'a dit un certain Président : ça commence à bien faire !

Au delà des différentes aides que l'on peut apporter à Patrice, il est urgent que nous nous mobilisions pour que de telles catastrophes ne se reproduisent plus.

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Sale temps pour les abeilles !

Un apiculteur d’Azans, village sur la rive gauche du Doubs, aujourd’hui devenu un quartier de Dole, connaît ces dernières semaines une lourde perte dans ses ruches.

Jugez des dégâts :
« Depuis le 19 avril , dit son message diffusé par mail, j'ai constaté des troubles anormaux sur mon  rucher d'Azans, qui compte plus de 50 colonies ; idem à Brevans (30  colonies).
J'ai pris le temps de filmer les abeilles qui ne cessent de  s'épouiller, qui tombent devant les ruches. J'ai prélevé des abeilles symptomatiques et du pollen. J'ai prévenu la DSV (Direction des Services Vétérinaires, qui ne semble pas très pressée d'élucider cette  affaire et qui, ce 15 mai, n’a pas encore donné signe d’un moindre souci de vie des abeilles. L'ADAFC - Association de développement de l'apiculture en Franche Comté- dont le siège est à la Chambre régionale d'Agriculture, est, elle, débordée d’appels de tout le département) Le 7 mai, après une semaine de pluie, les abeilles ont effectué un  butinage de rattrapage. A 18 heures, il y avait des centaines d'abeilles  tremblantes devant chaque ruche. » De plus, maintenant, les couvains sont dépérissants…
Patrice Cahé, l’apiculteur, a voulu alerter les autorités. La police nationale ne répond pas, à défaut de plainte déposée (cette précision, ça concerne la police NATIONALE), les gendarmes lui ont quant à eux conseillé de trouver un métier comme tout le monde, au prétexte qu’élever des abeilles n’était qu’un passe-temps sympathique. La police municipale s’est déplacée, pour constater l’état des choses, ce qui est une maigre consolation.

Les responsables sont sans doute quelques-uns, qui arrosent leurs champs au prétexte d’assainir les sols ; mais l’un d’entre eux est connu, vu qu’il exploite sur la prairie d’Assaut - ainsi nommée pour avoir été le terrain d’occupation des troupes françaises lors des sièges de la ville au XVIIe siècle - sur l’autre rive, en face d’Azans. Rencontré par l’apiculteur, il a reconnu avoir semé 12 hectares de semences de maïs enrobées de Cruiser (molécule active : thiaméthoxam), et cela depuis deux ans. Ce n’est pas un hasard si Patrice Cahé a déjà connu de lourdes pertes de son cheptel d’abeilles l’an passé, comme il en témoignait lors du débat suivant la projection du film Disparition des abeilles: la fin d'un mystère, de Natacha Calestrémé, à la MJC de Dole, pendant la Semaine du développement durable.

Avec la sécheresse qui sévissait début avril, les terres arrosées d’insecticide étaient très sèches, « comme de la cendre » (dixit l’agriculteur si peu précautionneux et pourtant doué de jugement). (Euh… oui… et alors ? Qu’est-ce qu’il faut tirer de cette remarque ?) et on sait que ce type de semences enrobées dégage dans ces conditions de la poussière où se trouve la molécule incriminée.

Isabelle Nouvellon , adjointe au maire de Dole, chargée des politiques de développement durable, a quelques leviers pour agir a posteriori - en tout premier lieu, provoquer une réunion avec la Chambre d’Agriculture pour changer les termes d’une convention qui lie les agriculteurs de la prairie d’Assaut à la Ville de Dole et à la Lyonnaise des  Eaux, car ce sont des terres qui circonscrivent les puits de captage. Pour l’heure, rien de très contraignant : les prairies en herbe y sont préférées à tout mode de culture, mais hélas, cette zone, inondable, humide, est pour le GAEC du coin faite tout exprès pour les maïs. Et s’il leur est demandé d’être attentifs à la  réglementation concernant notamment l'usage de produits phytosanitaires, ils n’en font qu’à leur tête.

Pourtant vous n’ignorez rien du phénomène de la disparition des abeilles… Quelques chiffres records piochés sur le site http://www.science.gouv.fr : de la fin de l’année 2006 à la fin de l’hiver 2007, perte de 60 % des colonies aux USA et jusqu’à 90 % dans certains États de l’Est et du Sud ; 40 % des ruches se sont vidées au Québec, 25 % des colonies sont décimées en Allemagne, idem à Taiwan, en Suisse, au Portugal, en Grèce et dans de nombreux autres pays d’Europe.

Patrice Cahé est plein d’amertume, car il a tenté depuis deux ans d’alerter les exploitants agricoles de ce danger, en leur demandant une chose très simple : l’alerter des dates d’arrosage aux pesticides et autres insecticides d’ensemencement ou de traitements, afin qu’il prévoie un éloignement ou un confinement des ruches. Une démarche respectueuse et du travail des uns et des autres, et des abeilles, qui n’a pas été prise en compte non plus ! Après le Gaucho, que l’exploitant a déclaré avoir utilisé préalablement, et aujourd’hui interdit en France, le Cruiser est mis en cause, ce qui n’a pas empêché l’Agence française de sécurité sanitaire alimentaire (Afssa) de rendre néanmoins un avis favorable à son utilisation, assorti de nombreuses précautions et recommandations, pour la sécurité des abeilles notamment.

« Les abeilles domestiques (Apis mellifera), par leur consommation de nectar et de pollen, peuvent être intoxiquées par une exposition unique (toxicité aiguë) ou répétée (toxicité chronique) à ces insecticides. Les molécules peuvent induire la mort des abeilles ou provoquer des effets sublétaux sur leur physiologie, leurs capacités cognitives et leur comportement, qui en retour peuvent occasionner des pertes d’abeilles ou affecter le développement de la colonie. »1 (À quelle note cet appel de note renvoie-t-il ? à celle qui est en bas de cette page, les petits n° qui s’y trouvent correspondent aux différents labo.

La triste conclusion de cette triste affaire est donnée par Isabelle Nouvellon dans sa réponse à l’apiculteur : « Quel monde ! Cet agriculteur n'est même pas conscient que c'est grâce  à vos abeilles que ses plants sont pollinisés, c'est incroyable !  »

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mardi 11 mai 2010

Grenelle 2 : attention publicité mensongère !

Alors que le débat parlementaire sur le Grenelle 2 s’achève demain, le ministère de l’Ecologie a lancé une campagne de publicité que l’on peut déjà voir sur nos écrans sous la signature «Grenelle environnement : entrons dans le monde d’après !» D’une conception très efficace, on y voit des images réelles qui «basculent» pour laisser apparaître un monde transformé par l’écologie : des paysages intégrant enfin les énergies renouvelables ou des transports non polluants comme le tramway... Non seulement la publicité invite chacun, particulier, entreprise, collectivité, à s’engager dans cette mutation vers un monde désirable mais elle insiste aussi sur tous les progrès qui auraient déjà été réalisés...Le rêve est là palpable, rien ne semble pouvoir l’arrêter. Pendant ce temps à l’Assemblée Nationale la réalité éclate en contradiction flagrante avec le beau message publicitaire. Au terme de quelques jours d’examen des nombreux amendements le bilan est plus que décevant : L’éolien est encadré : classement en ICPE (alors qu’au même moment le nucléaire en cas d’accroissement des rejets radioactifs est dispensé d’enquête publique) schémas régionaux obligatoires, minimum de cinq mâts. Il s’agit en fait d’ un frein brutal qui est mis au développement de l’éolien (surtout du petit éolien) au profit du nucléaire. Mais il est vrai qu’il faut bien choisir : on ne peut investir dans la relance du nucléaire avec deux EPR et promouvoir vraiment les énergies renouvelables. L’appellation HVE, haute valeur environnementale, pourra bénéficier à des cultures OGM tandis que rien ne vient encourager le développement du bio. La taxe sur les poids lourds est repoussée. L’étiquetage carbone attendra. Il y avait bien sûr déjà eu l’abandon de la contribution climat énergie au lendemain des régionales. Il y avait eu la loi OGM, hors Grenelle, qui permet la contamination générale du territoire. Lors du dernier salon de l’agriculture le président de la République avait donné le ton : «l’environnement ça commence à bien faire». Les députés UMP ont bien entendu le message. Les députés Verts eux ont donc annoncé qu’il voteraient contre la loi grenelle 2. Mais le Grenelle avait aussi prévu de lutter aussi contre l’éco-blanchiment. C’est à dire les publicités qui utilisent abusivement l’argument écologique pour vendre des produits qui ne le sont pas. Le gouvernement avait refusé de légiférer sur le sujet pour contraindre les publicitaires. Il s’était contenté de signer une charte de bonne conduite laissant aux professionnels le soin de s’auto-réguler. On comprend pourquoi : avec la campagne publicitaire «Grenelle : entrons dans le monde d’après !» le ministère de l’Ecologie se rend lui même coupable d’éco-blanchiment.
Jean louis Roumégas Porte parole des Verts

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samedi 10 avril 2010

Tilleuls du Mont Roland

Voici l'un des tilleuls abattu sur la route du Mont Roland.
N'allant pas très souvent sur le site, c'est un dolois qui m'a informée qu'une vingtaine de tilleuls centenaires avaient été abattus sur la route du Mont Roland, et ce pendant la semaine du développement durable.
Il reste aujourd'hui 5 arbres à terre, les autres ont du être emportés, et je n'ai pas pu voir ce "massacre à la tronçonneuse".
Je suis consternée, en cette année 2010 de la biodiversité il n’est pas acceptable qu’une telle atteinte à cet espace naturel soit portée sans aucune concertation.
Apparemment, l'abattage a été effectué par le service de l'Equipement, car gênant la visibilité des automobilistes. Un élagage n'aurait-il pas été suffisant ?
Je suis en attente d'information à ce sujet.

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lundi 5 avril 2010

Résultats Inventaire des oiseaux nicheurs Dole 2009

Didier Lavrut, Ligue de Protection des Oiseaux, vous remercie de tous les renseignements que vous pourrez lui fournir sur les oiseaux nichant sur Dole, afin de compléter le projet Atlas national. Lui écrire à : lavrut.didier@wanadoo.fr

Explications de Didier Lavrut, Ligue de Protection des Oiseaux :

Début 2009, la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) en collaboration avec la Société d’Etude Ornithologique de France (SEOF) et le Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN) ont initié le projet d’un travail d’inventaire des oiseaux nicheurs de France en vue de la publication d’un Atlas dont la parution est envisagée en 2012. Ce travail basé sur la recherche d’indices de nidifications, sur un carré de 10 km x 10 km, coordonné au niveau régional par la LPO Franche-Comté, a été proposé assez tardivement aux observateurs ; malgré cela, j’ai pris en compte le carré dans lequel Dole en est le centre. Douze communes sont concernées par ce carré dont la diversité des milieux joue énormément sur la richesse de l’avifaune. Les communes concernées sont par ordre alphabétiques : Abergement-la-Ronce, Champvans, Choisey, Crissey, Damparis, Dole, Foucherans, Gevry, Molay, Parcey, Tavaux et Villette-lès-Dole. Entre début juin et mi-juillet, j’ai réalisé 19 sorties sur le terrain d’une durée totale d’environ 100 heures, permettant d’identifier 107 espèces différentes susceptibles de se reproduire dont au minimum 86 espèces sur Choisey, 71 espèce sur Dole, 67 espèces sur Gevry et 65 espèces sur Crissey pour les commune dont la richesse est la plus importante.
En 1984, lors de la parution de l’Atlas des oiseaux nicheurs de Franche-Comté, 174 espèces étaient inscrites comme nicheuses dans notre région alors que 10 ans plus tard l’Atlas des oiseaux nicheurs du Jura ne signale que 154 espèces. Parmi les espèces citées dans l’Atlas jurassien, environ 20 % de l’avifaune est inféodée au milieu montagneux, ce qui rapporte le nombre approximatif des nicheurs potentiels de plaine, dans le Jura, à 120 espèces.
Notons également que depuis les années 1990, une évolution, pas toujours favorable à l’expansion des oiseaux, s’est produite sur nos plaines : L’intensification des zones de culture céréalière avec le cortège de remembrements, l’agrandissement des parcelles, la disparition des haies et des bosquets, l’emploi d’engrais ou d’autres produits chimiques sans cesse en augmentation, de mauvaises nidifications successives, des crues printanières destructrices, des hivers plus rigoureux, de mauvais hivernages en Afrique, des bouleversements climatiques (même modestes) qui nous touchent ces dernières années …L’ensemble de ces facteurs érode sans aucun doute le potentiel d’accueil de l’avifaune dans notre région et de façon plus spécifique celle des environs de Dole.
La région doloise, avec les résultats obtenus lors de ce travail d’inventaire fait sans doute partie de secteurs où l’avifaune, malgré les dérèglements et autres menaces localisées, reste particulièrement riche et diversifiée. La diversité des milieux et certains secteurs principalement situées sur les berges du Doubs où la dynamique fluviale collabore à l’évolution de zone riches telles les ripisylves* où les berges abruptes. Ces secteurs dont certains sont encore protégés et peu fréquentés participent à la richesse de l’avifaune. Notons que dans les 107 espèces recensées quelques-unes sont particulièrement peu fréquentes à l’échelle de la région : l’Aigrette garzette et le Bihoreau gris à Dole, l’Œdicnème criard et la Sterne pierregarin par exemple à Choisey, … alors que d’autres espèces dites « communes » peuvent paraître parfois envahissantes : le Moineau domestique, le Corbeau freux, la Tourterelle turque …
D’ici 2012, beaucoup d’autres heures d’inventaire se profilent avec probablement encore quelques nouvelles découvertes de nicheurs peu fréquents ou situés sur des milieux naturels plus difficiles à prospecter. Gageons que l’avifaune du secteur dolois se maintienne au minima dans sa situation actuelle qui n’est finalement pas si défavorable et voit une évolution de ses effectifs nicheurs afin de pérenniser certaines populations particulièrement localisées.

Didier Lavrut (Ligue de Protection des Oiseaux)

Références bibliographiques :
A. Joveniaux et Groupe Ornithologique du Jura (1993) – Atlas des oiseaux nicheurs du Jura. Groupe Ornithologique du Jura.
Groupe Naturaliste de Franche-Comté (1984) – Atlas des Oiseaux Nicheurs de Franche-Comté. GNFC.
Ripisylve : forêt alluviale

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dimanche 4 avril 2010

Nouveaux équipements : vélos au CV


Voilà les nouveaux "range-vélos" que vous pouvez trouver en centre-ville de Dole.



et le passage de la rue Bauzonnet.
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Inauguration forum développement durable

Intervention d'Isabelle Nouvellon - adjointe chargée du développement durable

Je suis ravie d'être parmi vous pour inaugurer la semaine du développement durable et ce pour la seconde année consécutive.
C'est donc une affaire qui marche, et dont le dynamisme se démontre dans le riche programme que les associations ont concocté pour nous.
Ces associations ne se contentent pas de cette seule manifestation, mais tout au long de l'année, apportent leur contribution précieuse sur notre territoire, leur énergie et leur savoir faire sur des sujets qui me tiennent à coeur. Je tiens de nouveau à les encourager à poursuivre leurs actions, et je les remercie chaleureusement.

Cette année, l'Organisation des Nations Unies a proclamé 2010, année Internationale de la biodiversité afin d'alerter l'opinion publique sur l'état et les conséquences du déclin de la biodiversité dans le monde. C'est pourquoi le thème choisi pour illustrer cette semaine du développement durable est celui de la biodiversité. La biodiversité est partout aussi bien sur terre que dans l'eau. Elle comprend tous les organismes, depuis les bactéries microscopiques jusqu'aux animaux et plantes, en passant par l'homme bien entendu.

Si la plupart d'entre nous apprécie les espaces verts et le chant des oiseaux, tout le monde ne réalise pas que la nature joue un rôle fondamental pour l'homme et sa survie. En particulier pour se nourrir (de nombreuses cultures ne peuvent exister que grâce aux abeilles pollinisatrices), se loger, se chauffer ou se soigner. Il faut y ajouter également, la qualité de l'eau, le climat, les conséquences des inondations (dont nous avons vu il y a peu les dévastations en Vendée) ou de la sécheresse, la stabilité et la richesse des sols. Par notre comportement, nous agissons fortement sur l'ensemble des écosystèmes et la planète et nous intervenons dans les conditions de vie d'autres peuples de la terre.
La nature est à la fois un patrimoine et une ressource vitale.

Malgré tout, la nature est menacée et continue de disparaître à un rythme qui s'accélère. Ce sont d'abord les milieux naturels qui sont artificialisés ou détruits. La vitesse de disparition des espèces a été multipliée par 100, voire 1000 selon les endroits. (En France c'est 1 oiseau sur 4, 1 mammifère sur 10, 1 amphibien sur 5 qui sont actuellement menacés de disparition définitive).
Trois causes principales sont à retenir : la disparition des milieux, la surconsommation (chasse, pêche, commerce) et la pollution. Mais les vraies racines restent l'ignorance, la recherche du profit à court terme et la satisfaction de besoins immédiats.

L'échéance de l'engagement de la France de stopper la perte de biodiversité en 2010 a échoué lamentablement. Le grenelle de l'environnement a mobilisé des énergies, mais parallèlement retardé ce qui était en cours depuis 2004 : la stratégie nationale pour la biodiversité. Aujourd’hui, le grenelle de l'environnement s'est réduit à peau de chagrin, l'urbanisme et les infrastructures de transports poursuivent la consommation et la fragmentation d'espaces naturels, les espèces menacées sont toujours aussi nombreuses, la quasi totalité des cours d'eau est polluée.

Je crains fort qu'au grand rendez-vous international d'octobre au japon, à l'exemple de l'échec de Copenhague, la France et les grands de ce monde, s'abstiennent des mesures radicales et concrètes et des moyens nécessaires pour enrayer la crise de disparition de la biodiversité, mais se contentent du seul plan médiatique et d'objectifs non obligatoires, faisant fi, des multiples alertes de scientifiques depuis plus de 10 ans.

Au niveau local, nous ne restons pas les bras ballants, à constater ce déclin, heureusement ! La réduction des pesticides jusqu'au point zéro sur les espaces verts, le remplacement des produits ménagers chimiques par des produits écologiques, limitent les rejets de polluants. La mise en place de la trame verte et bleue assurera des corridors écologiques pour la faune et la flore. L'arrêté de protection biotope du bois des acacias à Rochebelle préserve les hérons bihoreaux en voix d'extinction. La charte Natura 2000 sur le massif de la serre préserve les habitats et les espèces, mais hélas, pour ce massif, n'est pas un réel frein aux activités humaines, tel que le projet d'une carrière. Les expositions et sorties « nature », les films documentaires, conférences et débats, organisés sur notre territoire, participent à la sensibilisation des citoyens et à leur rapprochement avec la nature.
Nous pouvons évidemment aller plus loin, en définissant dans le SCOT les espaces à protéger et en prenant en compte dans les PLU les conditions du développement durable.

Je vous parle aujourd’hui, beaucoup de biodiversité, et le lien avec le développement durable, c'est que l'environnement est un des pilier de cette politique. Quand nous préservons l'environnement, ce sont autant d'emplois créés dans ce domaine, car rien ne peut se faire sans moyen humain.

Beaucoup de travail est à faire, et même si nous ne pourrons pas rattraper en une génération les dégâts engendrés par l'homme, si chacun prend sa part de responsabilité, nous pouvons contribuer à mettre un frein au déclin de la biodiversité.

Je vous remercie.

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mercredi 17 mars 2010

Semaine du développement durable

Détails
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samedi 27 février 2010

Inauguration du salon Ecodéclic

Aujourd'hui, j'inaugurais le premier salon Ecodéclic, voici le discours :
Bonjour,

Il existait auparavant tout les 2 ans sur Dole, la foire bio du tournesol, l'équivalent de ce salon, et j'ai beaucoup regretté sa disparition en 2004 à cause du manque de moyens de l'association organisatrice, Dole Ecologie.

C'est donc avec beaucoup d'enthousiasme que j'inaugure le premier salon ECODECLIC de la région doloise, et je tiens à saluer le travail de ses jeunes organisateurs et remercier les nombreux participants qui y contribuent.

Pour info, il existe aussi sur Dole, tous les jeudis en fin de journée, un marché de produits régionaux sur le cours St Mauris.

Vous avez tous pris la décision d'agir pour notre environnement, donc pour notre santé, notre bien-être, en proposant des produits ou des activités qui vont dans le sens du développement durable.
Les responsables d'Ecodéclic ont appliqué ce concept à l'organisation de ce salon et j'espère bien que cette pratique se généralisera sur toutes les manifestations.
A ce propos, j'invite toutes les associations à participer à une formation proposée par la ville de Dole sur ce sujet, pendant la semaine du développement durable.

Il est nécessaire que chacun agisse, car si chaque habitant a le même droit d’utiliser les ressources de la Terre, il a aussi le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations à venir. C’est ça agir localement, en pensant globalement.

Nos comportements changent si on nous en donne les moyens, et il faut souvent nous forcer la main. Plus de sac plastique aux caisses des magasins, et nous ressortons tous nos paniers, ou des sacs recyclés.

En 2009, c'est un français sur deux qui consomme du bio au moins une fois par mois. On ne peut que s'en réjouir, mais l'offre reste loin de répondre à la demande. Car si en 2009, en France, le nombre d'agriculteurs passant au bio a augmenter de 20%, ce ne sont que 3600 agriculteurs bio de +. Il faut savoir que la surface de l'agriculture bio en France ne représente que 2,5 % des surfaces agricoles utiles, et il en faudra 6% en 2012 et 20% en 2020 pour atteindre les objectifs du grenelle. Là on force la main des agriculteurs, mais on leur offre des moyens ridicules.

De ce fait, afin de compenser l'offre, ce sont souvent des produits importés que nous retrouvons dans nos assiettes. Bravo, pour le bilan carbonne !


De même, an nom du principe de précaution, pourquoi ne pas remplacer d'autorité, par des produits naturels, les substances chimiques (ces fameux phtalates) dans la composition de produits de soin, alors qu'ils sont qualifiés de substances préoccupantes pour notre organisme et notre environnement ?

Pourquoi réduire les mannes financières des organismes de logements sociaux, alors même qu'ils doivent répondre aux enjeux de réduction énergétique de leur parc immobilier ?

Vous comprendrez que mon discours interrogatif ne vous concerne nullement puisque vous avez fait le bon choix.

Beaucoup de choses sont à faire, et ce n’est pas dès demain que nous en verrons les conséquences. Mais pour les générations à venir nous nous devons de faire cet effort, pour que nos enfants / petits enfants continuent à vivre sur une planète riche en couleurs.

Je vous remercie et souhaite un franc succès à ce salon.

Isabelle NOUVELLON
Adjointe au développement durable

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vendredi 5 février 2010

Garer votre vélo !

Trouver un endroit où attacher son vélo en ville relevait jusqu'à maintenant de l'impossibilité.
En novembre, Isabelle Nouvellon accompagnée du collectif des usagers du vélo, des services technique et urbanisme, ont effectué un tour du centre-ville pour marquer au sol les futurs emplacements des range-vélos.

Aujourd'hui, vous pouvez déjà voir l'installation de ce mobilier urbain à certains endroits.
En mars, les cyclistes n'auront plus à chercher pour sécuriser leur vélo au centre-ville sur un de ces points.

Le but est bien de faciliter la vie de ceux qui utilisent les transports alternatifs et participent ainsi à minimiser la place de la voiture en ville.
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Un quartier = Un jardin

Dans le but de permettre à tous de disposer d'un terrain à cultiver, l'adjointe au développement durable avait ouvert la réflexion il y a un an, sur la démarche : Un quartier = Un jardin.
Depuis cet automne, une association a vu le jour : un jardin bio en ville, qui réunit des personnes motivées et actives, et dont le but rejoint cette réflexion : trouver des terrains et les confier à des habitants pour que chacun puisse subvenir à ses besoins en légumes et s'épanouisse dans le jardinage. Mais pas n'importe comment : l'association a établi une charte la liant aux occupants de terrain, stipulant que ces jardiniers respecteront l'environnement dans leurs pratiques.
Après la rencontre entre l'adjointe et les premiers membres de l'association il y a 6 mois, une recherche de terrains a été lancée.
Aujourd'hui, l'association a trouvé un partenariat avec la Maison Familiale et Rurale, rue du Desfois à DOLE, qui mettra à leur disposition un grand terrain. La MFR dispose de formations dans le domaine agricole.
Le service "espaces verts" de la ville propose également à l'association quelques petites surfaces à cultiver en ville.
Cette idée avance concrètement grâce à une équipe active et à leur volonté d'oeuvrer en faveur du développement durable.

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Nouveaux amis sur Dole


C'est bon pour "notre" biodiversité. On a pu remarquer des indices de présence de CASTOR sur Dole. Super, non !!
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dimanche 31 janvier 2010

Conseil d'agglo : Orientations budgétaires 2010

Les élus verts ont rappelé leur opposition à l'aérodrome de Tavaux.

Isabelle Nouvellon intervient en rappelant que le contexte de restriction budgétaire nous oblige à faire des économies, et elle s'étonne que l'on puisse baisser la subvention de l'Atelier Pasteur, qui intervient dans les écoles sur le développement durable, et parallèlement faire passer l'aide à l'aérodrome de 37 000 à 50 000 euros.

Elle précise que l'Atelier Pasteur est un réel partenaire qui enrichit l'école. Que chaque année des postes d'enseignants sont supprimés, et que le travail de l'Atelier Pasteur au sein de l'école des Commards permet de faire de cette école, l'école du développement durable.

Les élus Verts se sont abstenus, comme à leur habitude, sur la convention passée avec l'association du golf de Parcey. La demande l'année passée d'avoir à disposition les comptes n'a pas abouti.
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Accueil les jeudis de l'environnement

Je suis heureuse de vous accueillir ici, en mairie de Dole, pour « les jeudis de l'environnement » pour un thème primordial dans la vie de l'homme, je veux parler de « la biodiversité » dont l'homme en est partie intégrante.
A Dole, beaucoup doivent s'imaginer que la biodiversité n'est pas en danger : nous sommes à proximité d'une des plus grandes forêts de France, le Doubs que l'on pense non pollué, coule au pied de notre ville, le site du Mt Roland est toujours aussi charmant, Mais en faisant un bond dans notre passé, quand nous étions enfants, on peut se souvenir que des coquelicots et des bleuets paradaient au milieu des champs de blés ou que de magnifiques papillons colorés ou des orvets traversaient notre chemin de balade.
Aujourd’hui, tout cela devient rare, et notre relation à la nature n'est plus aussi prenante et c'est bien dommage. Il me semble que nous devrions réapprendre à vivre avec la nature, en ville comme à la campagne.
L'homme est pour une grande partie responsable du déclin de la biodiversité, par ses pratiques de surproduction, de surconsommation des milieux naturels, et sera, s'il ne fait pas le nécessaire, responsable de sa disparition. Car tout est lié !
Peut-on encore mettre dans la balance la préservation d'une forêt abritant des écosystèmes et des espèces protégés et l'autorisation d'ouverture d'une carrière à l'intérieur de son périmètre natura 2000, sans prendre le risque de compromettre « la biodiversité » et tout le travail entrepris pour sa protection, au seul profit d'une activité économique ?
Peut-on rechigner à débourser quelques milliers d'euros pour sauvegarder une bâtiment abritant des centaines de chauve-souris ?
Peut-on encore irriguer à outrance des cultures sans avoir pris en compte le déficit d'eau des nappes phréatiques et des cours d'eau ou continuer à utiliser des produits chimiques qui appauvrissent le sol et contaminent les rivières et leurs utilisateurs ? Je ne crois pas !
Avec le grenelle de l'environnement ou le sommet de Copenhague, qui n'ont, hélas, pas abouti aux solutions radicales tant espérées, le message d'alerte est cependant bien passé vers chaque citoyen. Nous commençons à percevoir la prise de conscience et les prémices de réflexion de changements de pratique dans beaucoup de domaines et de corps de métier. Et c'est un pas en avant !
La France, la région, a pris du retard sur les objectifs internationaux qui visaient à stopper l'érosion de la biodiversité en 2010, et c'est pourquoi je suis ravie de vous accueillir à Dole pour cette conférence qui met le doigt sur les questions que l'on peut se poser à ce sujet, et auxquelles vous pourrez répondre de votre avis d'experts.
Je vous en remercie et vous souhaite à tous une bonne soirée !

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dimanche 17 janvier 2010

Grues du soir


Didier Lavrut, Ligue de Protection des Oiseaux de Dole, me signale le passage, ce soir, de 3 grues cendrées dans le ciel de Dole-Crissey.
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Prépa semaine développement durable 2010

Les mois passent, et l'année défile. Voici déjà venu le moment de préparer à nouveau les événements qui auront lieu pendant la semaine du développement durable (du 1er au 7 avril prochains).
Lundi 11 janvier, j'ai organisé une réunion à laquelle une vingtaine de personnes ont participé (associations, écoles...).
Sur demande, Je peux adresser le dossier de recommandation et la fiche à retourner "projet" que vous pouvez utiliser, si vous avez des idées et voulez participer à cette semaine de sensibilisation.
Notre prochaine réunion de coordination aura lieu salle Edgar Faure, lundi 8 février à 14h. Chacun peut venir y assister et proposer son aide, les associations ont toujours besoin de force vive.

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