« Bref, soit Dole Tavaux décolle, soit il finit dans un coin d’école » Cyrille Brero, journaliste, dans un article du Progres-Les Dépêches du 25 février….
Je rebondis, mais sur un « cas d’école ».. ou un très bon exemple d’une leçon bien apprise ! Qu’est-ce qui motive les opposants à l’ expansion de l’aéroport de Tavaux : son inutilité flagrante, la gabegie financière qui l’accompagne, ses ratées au décollage dès le départ du projet. Fonder des espoirs de développement sur une compagnie à ce point rouée à l’utilisation des deniers publics pour son propre développement, à une compagnie somme toute si peu recommandable - voir la somme de ses installations précaires et largement subventionnées à travers le territoire- relève de l’inconscience, ou tout simplement de la volonté pur et simple de ne pas reconnaître que l’on s’est trompé. La levée de bouclier des élus de droite en est le symptôme évident.
L’avenant voté par le Conseil Général va dans le bon sens : si à la fin de l’année 2012 les objectifs de 15000-20000 passagers n’est pas atteint, on rompt le contrat ! ouf !
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dimanche 26 février 2012
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