Les deux parlementaires proposent aujourd’hui leurs bons offices au SICTOM de la Zone de Dole à la peine pour faire valider son budget 2009 par les élus du nord Jura. Mais qu’ont-ils fait jusqu’alors ? Le premier, Vice-Président du Conseil Général, ne s’est jamais intéressé à une politique dont le Conseil Général a la charge : le plan départemental d’élimination des déchets n’a pas bougé depuis 2001 alors même que notre production de déchets ne cesse de poser problème. C’est l’un des équipiers de l’autre, ex-président du SYDOM, qui en période préélectorale a repoussé à 2009 le financement de la mise aux normes de l’incinérateur. Ajoutons à cela que nos deux élus ont voté la loi de finances pour 2009 (validant la TGAP) sans le moindre amendement... Au Sénat où siège M. Barbier, les sénateurs ont tenté de tarir par un amendement clientéliste le moyen principal proposé par le Grenelle pour réduire les déchets…
Le tri dans le Jura : une performance en trompe l’œil !
Le Jura fut pionnier en matière de collecte sélective au début des années 90. Mais au fil des années la situation ne cesse de se dégrader : si le bac gris ne progresse plus, le bac bleu non plus… et avec le développement des déchetteries, le poids de nos poubelles a finalement augmenté de 100 kg/an et par habitant en 10 ans. Cette hausse de 25% entraînant mécaniquement la hausse des coûts de traitement ! Hélas, l’objectif national de 200 kg/an et par habitant pour 2015 ne sera sans doute pas si facile que cela à atteindre … Le taux de refus de tri dans les bacs bleu collectés sur la zone de Dole est très important : un bac sur quatre retourne à l’incinération. C’est tout juste dans la moyenne nationale ! Une amélioration de quelques points diviserait par 2 le coût de traitement du bac bleu (55€/t aujourd’hui)
Que Chacun prenne les responsabilités qui sont les siennes …
Comme en témoigne le récent succès de la 3ème semaine nationale de la prévention des déchets fin novembre, les citoyens sont aujourd’hui disposés à participer à la réduction des déchets par les bons gestes au moment de leurs achats. Ce nouvel effort est le prolongement logique du geste du tri aujourd’hui parfaitement intégré par chacun. 30 foyers-témoins du Grand Dole se sont même portés volontaires dans le cadre de l'opération "Passiflore, je réduis mes déchets" pour tester des gestes simples en vue de créer moins de déchets ménagers. Il est urgent de reconnaître, de valoriser et d’accompagner le mouvement : cela relève de la responsabilité des communes et autres collectivités locales percevant taxes et redevances pour financer le service de collecte et de traitement des ordures ménagères. Qui d’autres qu’elles, proches des citoyens, seraient mieux placées pour animer un plan local de prévention des déchets ? Mettre au plus vite en place une politique tarifaire incitative valorisant ceux qui jouent le jeu ?
Et toutes ses responsabilités !
A leur échelle, nos parlementaires seraient bien inspirés de militer activement pour que soit revalorisée la contribution des producteurs d’emballages sensée financer les collectivités pour leur élimination (on sait que le montant actuel ne couvre qu’à peine la moitié de la dépense !) comme pour obtenir les garanties que les recettes de la nouvelle TGAP instaurée par le grenelle de l’environnement sur les décharges et l’incinération (engagement 245) servent bien demain au financement des politiques de prévention des déchets comme initialement prévu en décembre 2007(engagement 247).
Les Verts du pays dolois
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lundi 29 décembre 2008
samedi 20 décembre 2008
TGAP et AG du Sictom
De la position contradictoire en politique.
La mise en place de la TGAP (Taxe générale sur les activités polluantes) entraîne des réactions surprenantes : beaucoup d’élus pensent qu’il faut agir, mais dès qu’il s’agit de le faire, ils sont les premiers à monter au créneau contre les mesures prises.
Il est donc, aujourd’hui, enfin admis qu’il y a urgence à agir pour préserver la planète et lutter contre le réchauffement climatique. A cet effet, le Grenelle de l’environnement a permis la création d’une taxe reposant sur le principe du pollueur-payeur : la TGAP. C’est enfin un signe fort donné aux agents économiques par le biais de la fiscalité : la taxe vise à orienter les comportements des agents économiques, à dissuader et à prévenir ceux qui présentent le plus de risques pour l'environnement.
Cette taxe renoue avec les moyens « intelligents » d’orienter l’activité économique avec l’outil fiscal. Par exemple, la mise en place de cette taxe a conduit le SICTOM (Syndicat Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères) de la zone de Dole à reposer la question de l’enfouissement des déchets, de l’incinération et de rechercher rapidement des alternatives, les coûts devenant au fil des années dissuasifs. Ces questions étaient certes déjà posées au sein du SICTOM, mais la taxe a un effet d’accélérateur. Pour les ménages, la taxe doit inciter a encore faire des efforts sur le tri des ordures ménagères.
Or, lors de la dernière assemblée générale du SICTOM, le débat autour de la TGAP a été vif. Les arguments développés par la plupart des délégués donnaient l’impression que la mesure du problème écologique n’était pas prise. Lors du vote des nouveaux tarifs du SICTOM, la majorité des délégués a voté contre la proposition du SICTOM. Il est vrai que la hausse proposée par le bureau du SICTOM est de 9,5 %, hausse, importante en cette période de crise et de baisse du pouvoir d’achat. Mais cette hausse est due en partie : de la hausse des coûts du SICTOM de la zone de Dole (2,5 %), du SYDOM (syndicat de traitement des ordures ménagères) du Jura (4,5 %) et la TGAP (2,5 %). Après l’AG, la tension n’était qu’en partie retombée car quelques délégués ont continué à vitupérer contre la TGAP. Ce vote a, en partie, été influencé par un courrier émis par le bureau de l’agglomération du Grand Dole, et adressé à tous ses délégués. Dans ce courrier, le bureau demandait que cette taxe ne soit pas appliquée par le SICTOM. Cet argument a été repris par quelques opposants à la TGAP lors du débat de l’assemblée générale du SICTOM.
L’attitude adoptée par les élus du SICTOM et du Grand Dole doit nous alerter. Si dans la plupart des SICTOM de France, les élus agissent comme dans la zone de Dole, alors nous verrons apparaître des votes de motions et autres moyens de pressions pour demander au gouvernement de revenir sur la mise place de cette taxe.
Ako Hamdaoui
Adjoint aux finances
Ville de Dole
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La mise en place de la TGAP (Taxe générale sur les activités polluantes) entraîne des réactions surprenantes : beaucoup d’élus pensent qu’il faut agir, mais dès qu’il s’agit de le faire, ils sont les premiers à monter au créneau contre les mesures prises.
Il est donc, aujourd’hui, enfin admis qu’il y a urgence à agir pour préserver la planète et lutter contre le réchauffement climatique. A cet effet, le Grenelle de l’environnement a permis la création d’une taxe reposant sur le principe du pollueur-payeur : la TGAP. C’est enfin un signe fort donné aux agents économiques par le biais de la fiscalité : la taxe vise à orienter les comportements des agents économiques, à dissuader et à prévenir ceux qui présentent le plus de risques pour l'environnement.
Cette taxe renoue avec les moyens « intelligents » d’orienter l’activité économique avec l’outil fiscal. Par exemple, la mise en place de cette taxe a conduit le SICTOM (Syndicat Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères) de la zone de Dole à reposer la question de l’enfouissement des déchets, de l’incinération et de rechercher rapidement des alternatives, les coûts devenant au fil des années dissuasifs. Ces questions étaient certes déjà posées au sein du SICTOM, mais la taxe a un effet d’accélérateur. Pour les ménages, la taxe doit inciter a encore faire des efforts sur le tri des ordures ménagères.
Or, lors de la dernière assemblée générale du SICTOM, le débat autour de la TGAP a été vif. Les arguments développés par la plupart des délégués donnaient l’impression que la mesure du problème écologique n’était pas prise. Lors du vote des nouveaux tarifs du SICTOM, la majorité des délégués a voté contre la proposition du SICTOM. Il est vrai que la hausse proposée par le bureau du SICTOM est de 9,5 %, hausse, importante en cette période de crise et de baisse du pouvoir d’achat. Mais cette hausse est due en partie : de la hausse des coûts du SICTOM de la zone de Dole (2,5 %), du SYDOM (syndicat de traitement des ordures ménagères) du Jura (4,5 %) et la TGAP (2,5 %). Après l’AG, la tension n’était qu’en partie retombée car quelques délégués ont continué à vitupérer contre la TGAP. Ce vote a, en partie, été influencé par un courrier émis par le bureau de l’agglomération du Grand Dole, et adressé à tous ses délégués. Dans ce courrier, le bureau demandait que cette taxe ne soit pas appliquée par le SICTOM. Cet argument a été repris par quelques opposants à la TGAP lors du débat de l’assemblée générale du SICTOM.
L’attitude adoptée par les élus du SICTOM et du Grand Dole doit nous alerter. Si dans la plupart des SICTOM de France, les élus agissent comme dans la zone de Dole, alors nous verrons apparaître des votes de motions et autres moyens de pressions pour demander au gouvernement de revenir sur la mise place de cette taxe.
Ako Hamdaoui
Adjoint aux finances
Ville de Dole
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Ako Hamdaoui
samedi 25 octobre 2008
Rencontre des saveurs et des savoir-faire
La collectivité a montré sa volonté d’un changement des politiques précédentes, par la création d’un poste d’adjoint au développement durable.
Le soutien à une agriculture bio ainsi qu’aux circuits courts en est la démonstration.
Tous les 15 jours (de 16h30 à 19h30), sur le cours St Mauris à Dole, se tiennent les rencontres des saveurs et des savoir-faire.
Nous ne pouvons pas continuer à nous approvisionner essentiellement de produits ayant fait des milliers de kilomètres avant d’arriver dans nos assiettes. La qualité de ce que nous mangeons est essentielle, pour notre santé bien sûr, mais également celle de notre planète.
Une agriculture biologique, donc cultivée sur des terres saines, sans produits chimiques, ne peut être que bénéfique à tous (consommateurs, mais aussi agriculteurs), et préventive des cas de maladies dues en partie à ces produits néfastes. On retrouve également le goût oublié des aliments de qualité issus de l’agriculture bio.
La terre retrouve ses origines, plus de rejet dans la nappe phréatique, l’eau des rivières est pure, la biodiversité s’installe, la faune, la flore sont ainsi préservées.
Mais, ces aliments doivent être cultivés au plus près de leur lieu de consommation, pour limiter les transports et ainsi réduire leur empreinte écologique (moins de pollution dans l’air, moins de camions sur les routes, ou d’avions dans les airs).
Tout ceci est également bénéfique pour l’économie locale, car si nous consommons les productions locales, nous permettons l’essor de l’agriculture sur notre région et la réduction des parcelles de terre laissées à l’abandon.
Si demain, nous voulons inclure dans la restauration collective (à destination de nos enfants, de nos aïeuls) des produits de qualité et de proximité, il faut une volonté collective pour donner l’élan nécessaire à ces pratiques.
Nous espérons que cette première initiative et que les discussions engagées avec le monde agricole aboutiront à ce résultat pour le bien de tous.
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Le soutien à une agriculture bio ainsi qu’aux circuits courts en est la démonstration.
Tous les 15 jours (de 16h30 à 19h30), sur le cours St Mauris à Dole, se tiennent les rencontres des saveurs et des savoir-faire.
Nous ne pouvons pas continuer à nous approvisionner essentiellement de produits ayant fait des milliers de kilomètres avant d’arriver dans nos assiettes. La qualité de ce que nous mangeons est essentielle, pour notre santé bien sûr, mais également celle de notre planète.
Une agriculture biologique, donc cultivée sur des terres saines, sans produits chimiques, ne peut être que bénéfique à tous (consommateurs, mais aussi agriculteurs), et préventive des cas de maladies dues en partie à ces produits néfastes. On retrouve également le goût oublié des aliments de qualité issus de l’agriculture bio.
La terre retrouve ses origines, plus de rejet dans la nappe phréatique, l’eau des rivières est pure, la biodiversité s’installe, la faune, la flore sont ainsi préservées.
Mais, ces aliments doivent être cultivés au plus près de leur lieu de consommation, pour limiter les transports et ainsi réduire leur empreinte écologique (moins de pollution dans l’air, moins de camions sur les routes, ou d’avions dans les airs).
Tout ceci est également bénéfique pour l’économie locale, car si nous consommons les productions locales, nous permettons l’essor de l’agriculture sur notre région et la réduction des parcelles de terre laissées à l’abandon.
Si demain, nous voulons inclure dans la restauration collective (à destination de nos enfants, de nos aïeuls) des produits de qualité et de proximité, il faut une volonté collective pour donner l’élan nécessaire à ces pratiques.
Nous espérons que cette première initiative et que les discussions engagées avec le monde agricole aboutiront à ce résultat pour le bien de tous.
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Isabelle Nouvellon
dimanche 5 octobre 2008
Pas de C.M.R. ni pesticides dans ma commune!
Il y a urgence ! avec le doublement du nombre de cancer en France sur 20 ans, malgré l'évolution des soins, nous savons aujourd'hui que de très nombreuses substances présentes dans notre environnement sont dangereuses, avec des effets :
Cancérigènes (C) substances qui par inhalation, ingestion, ou pénétration cutanée peuvent provoquer un cancer ou en augmenter la fréquence ;
Mutagènes (M) substances qui, par les mêmes voies peuvent produire des défauts génétiques héréditaires ou en augmenter la fréquence ;
Reprotoxiques (R) - toxiques pour la reproduction- substances qui comme cité précédemment peuvent produire ou augmenter la fréquence d'effets nocifs non héréditaires dans la progéniture ou porter atteinte aux fonctions ou capacités reproductives chez l'homme.
Nantes, Lyon, Sêvres, Boulogne Billancourt et bien d'autres communes sont déjà engagées dans des mesures visant la suppression des pesticides pour leurs parcs et espaces verts : il est urgent d'agir localement !
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M.A Chalumeaux
jeudi 14 août 2008
Isabelle Nouvellon, adjointe au développement durable
“Le développement durable est un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs.” Telle est la définition du développement durable formulée en 1987 par la Commission mondiale de l’environnement.
Dans ce sens, et pour répondre à une volonté municipale, Isabelle Nouvellon a été nommée adjointe à la politique du développement durable. “Il ne faut pas penser que le développement durable ne touche que l’environnement. Le développement durable se base sur trois piliers que sont l’équité sociale, l’économie et la préservation de l’environnement. Ainsi, mes interventions sont transversales car elles couvrent l’ensemble des politiques de la ville.
Nous prendrons en compte, pour chaque projet, le long terme tant d’un point de vue humain que matériel » précise Isabelle Nouvellon. Un bon projet de développement durable doit allier une démarche visant à satisfaire les besoins de proximité, à prendre en compte les habitants ici et maintenant, tout en contribuant à l’avenir de la planète.
Isabelle Nouvellon s’attache déjà à transmettre le message et veille à ce que ces différents éléments intègrent la réflexion de chacun.
Et pour montrer l’exemple, les premières mesures touchent la collectivité dans son fonctionnement interne : des récupérateurs individuels de tri papier ou de collecte des cartouches d’encre à recycler et des boîtes pour collecter les idées du personnel ont été installés.
Au conseil municipal, des brocs et des verres ont remplacé les traditionnels gobelets et bouteilles en plastique, privilégiant ainsi l'eau potable du réseau.
“Nous pouvons aussi souhaiter que la Ville de Dole obtienne le Label “Ecocert” EVE (Espaces Verts Ecologiques), ce qui se traduit par des mesures de gestion plus écologiques du service concerné (récupérateurs d’eau de pluie, réduction des produits phytosanitaires, biodiversité…)” précise Isabelle Nouvellon.
Plus généralement sur la ville en ce qui concerne les déplacements des dolois, un schéma de déplacements doux (bandes multi usages, pistes cyclables…) reliant les quartiers aux services publics ou au centre-ville est en cours de réflexion.
Par ailleurs, des Pedi-bus scolaires (ramassage scolaire à pied) se mettent en place, ils seront développés à la rentrée prochaine.
“Au regard de l’état de la planète (gaz à effet de serre, réduction des énergies fossiles, disparition des espèces…) les politiques ont un devoir de responsabilité envers les citoyens et l’obligation de tenir compte du développement durable dans chacune de leurs actions.” conclut Isabelle Nouvellon
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Dans ce sens, et pour répondre à une volonté municipale, Isabelle Nouvellon a été nommée adjointe à la politique du développement durable. “Il ne faut pas penser que le développement durable ne touche que l’environnement. Le développement durable se base sur trois piliers que sont l’équité sociale, l’économie et la préservation de l’environnement. Ainsi, mes interventions sont transversales car elles couvrent l’ensemble des politiques de la ville.
Nous prendrons en compte, pour chaque projet, le long terme tant d’un point de vue humain que matériel » précise Isabelle Nouvellon. Un bon projet de développement durable doit allier une démarche visant à satisfaire les besoins de proximité, à prendre en compte les habitants ici et maintenant, tout en contribuant à l’avenir de la planète.
Isabelle Nouvellon s’attache déjà à transmettre le message et veille à ce que ces différents éléments intègrent la réflexion de chacun.
Et pour montrer l’exemple, les premières mesures touchent la collectivité dans son fonctionnement interne : des récupérateurs individuels de tri papier ou de collecte des cartouches d’encre à recycler et des boîtes pour collecter les idées du personnel ont été installés.
Au conseil municipal, des brocs et des verres ont remplacé les traditionnels gobelets et bouteilles en plastique, privilégiant ainsi l'eau potable du réseau.
“Nous pouvons aussi souhaiter que la Ville de Dole obtienne le Label “Ecocert” EVE (Espaces Verts Ecologiques), ce qui se traduit par des mesures de gestion plus écologiques du service concerné (récupérateurs d’eau de pluie, réduction des produits phytosanitaires, biodiversité…)” précise Isabelle Nouvellon.
Plus généralement sur la ville en ce qui concerne les déplacements des dolois, un schéma de déplacements doux (bandes multi usages, pistes cyclables…) reliant les quartiers aux services publics ou au centre-ville est en cours de réflexion.
Par ailleurs, des Pedi-bus scolaires (ramassage scolaire à pied) se mettent en place, ils seront développés à la rentrée prochaine.
“Au regard de l’état de la planète (gaz à effet de serre, réduction des énergies fossiles, disparition des espèces…) les politiques ont un devoir de responsabilité envers les citoyens et l’obligation de tenir compte du développement durable dans chacune de leurs actions.” conclut Isabelle Nouvellon
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Isabelle Nouvellon
mardi 12 août 2008
Motion soutien au TIBET (7 avril 2008)
A la demande des élus Verts, une motion de soutien au peuple Tibétain a été proposée par la majorité du conseil municipal le 7 avril 2008. L'opposition UMP s'est abstenu de vote.
En voici le texte :
Au regard de la situation dramatique du peuple Tibétain oppressé par les autorités chinoises, le conseil municipal de Dole souhaite interpeller le gouvernement français pour qu’il affermisse sa position vis à vis du pouvoir politique chinois.
Alors que celui-ci bafoue les droits de l’homme, et plus particulièrement l’identité culturelle des peuples vivant sur son territoire, les réponses du Président de la République Française sont insuffisantes.
Le conseil municipal de Dole appelle l’ensemble des dirigeants de l’Union Européenne à se prononcer pour que les Droits de l’Homme soient respectés sur le territoire chinois et du Tibet. Et dans ce sens, M. Sarkozy, futur Président de l’Union Européenne, doit clairement affirmer qu’il suspend sa participation aux cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques.
Le conseil municipal de Dole exprime le vœu que les Jeux Olympiques de 2008 soient pour chacun, et particulièrement pour le monde sportif, l’occasion de faire entendre sa voix en faveur de la Démocratie.
Enfin, pour appuyer notre soutien au peuple Tibétain, le samedi 19 avril, à 10h, nous invitons tous les citoyens défenseurs de cette cause, à nous rejoindre devant la mairie où sera dressé le drapeau Tibétain.
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Conseil Municipal,
Isabelle Nouvellon
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