Découvrez dans ce documentaire impressionnant les dégats irréparables que provoque l'usage des différents produits toxiques vis à vis des abeilles ...
Par la vision de cet excellent reportage, vous prendrez conscience de l'impact sur l'environnement que provoquerait la disparition des abeilles...
Cela se passe en Chine, mais ca pourrait etre bientot d'actualité en Europe et en France.
Voir le reportage
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mardi 29 décembre 2009
dimanche 20 décembre 2009
vendredi 18 décembre 2009
Identité nationale - débat ?
Le gouvernement nous invite à débattre sur l'identité nationale. Il n'échappe à personne que ce débat sur un sujet contestable dans son intitulé même, intervient dans un contexte électoral qui laisse planer de véritables doutes sur l'objectif poursuivi par ceux qui organisent le débat. Nous contestons donc avec force les conditions de son organisation et ses visées clairement électoralistes.
Nous en sommes convaincus, on ne construit pas l'identité nationale par l'amalgame des identités communautaires, ni sur la définition et la maîtrise des flux migratoires. Un ministère qui voudrait lier immigration et identité nationale ne peut en aucun cas contribuer à la nécessaire cohésion entre celles et ceux qui vivent sur le territoire nationale quelques soient leur origine ou leur conviction.
L'identité nationale qu'on aime se construit sur une certaine idée du vivre ensemble, sur le respect non pas théorique mais effectif des valeurs de la République : Liberté, Egalité, Fraternité
La citoyenneté Française, dès le XIXème siècle, s'affranchit de toutes croyances. Notre République est laïque, fraternelle. Elle est ouverte aux autres cultures, qui au cours des siècles ont enrichi notre culture nationale de leurs divers apports.
Notre République est solidaire parce que, aujourd'hui plus que jamais, dans le contexte de crise que connaît notre pays, il incombe à ceux qui nous gouvernent d'organiser les solidarités appliquées partout et pour tous et d'assurer la cohésion sociale.
Notre République est laïque parce que la république française est fondée sur la claire séparation du politique et du religieux. La religion appartient à la sphère privée et nous souhaitons qu'elle le reste. Dans ce domaine, l'Etat se doit d'affirmer, de respecter et faire respecter cette séparation.
Ceux qui nous gouvernent et nous appellent au débat aujourd'hui, ne nous donnent aucune garantie dans ces domaines, bien au contraire.
C'est pourquoi nos organisations ne s'associeront pas à ce débat. Chacun reste libre d'y participer à titre individuel.
le Parti Socialiste, la ligue des droits de l'Homme, Attac 39, UNSA, les Verts, le Parti Communiste.
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Nous en sommes convaincus, on ne construit pas l'identité nationale par l'amalgame des identités communautaires, ni sur la définition et la maîtrise des flux migratoires. Un ministère qui voudrait lier immigration et identité nationale ne peut en aucun cas contribuer à la nécessaire cohésion entre celles et ceux qui vivent sur le territoire nationale quelques soient leur origine ou leur conviction.
L'identité nationale qu'on aime se construit sur une certaine idée du vivre ensemble, sur le respect non pas théorique mais effectif des valeurs de la République : Liberté, Egalité, Fraternité
La citoyenneté Française, dès le XIXème siècle, s'affranchit de toutes croyances. Notre République est laïque, fraternelle. Elle est ouverte aux autres cultures, qui au cours des siècles ont enrichi notre culture nationale de leurs divers apports.
Notre République est solidaire parce que, aujourd'hui plus que jamais, dans le contexte de crise que connaît notre pays, il incombe à ceux qui nous gouvernent d'organiser les solidarités appliquées partout et pour tous et d'assurer la cohésion sociale.
Notre République est laïque parce que la république française est fondée sur la claire séparation du politique et du religieux. La religion appartient à la sphère privée et nous souhaitons qu'elle le reste. Dans ce domaine, l'Etat se doit d'affirmer, de respecter et faire respecter cette séparation.
Ceux qui nous gouvernent et nous appellent au débat aujourd'hui, ne nous donnent aucune garantie dans ces domaines, bien au contraire.
C'est pourquoi nos organisations ne s'associeront pas à ce débat. Chacun reste libre d'y participer à titre individuel.
le Parti Socialiste, la ligue des droits de l'Homme, Attac 39, UNSA, les Verts, le Parti Communiste.
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Conseil Municipal
vendredi 11 décembre 2009
Histoire de trains
Les élus verts sont hostiles à la création et à l'adhésion des collectivités à l'association pour la branche sud de la LGV Rhin Rhône.
Par contre, ils échangent régulièrement avec les cheminots et se sont inscrits partants pour une réflexion dans la plate forme du collectif rail 39.
Ce collectif a été créé par des cheminots dolois qui tentent d'élargir sur tout le jura la réflexion pour la sauvegarde et l'amélioration des lignes existantes pour un meilleur service à la population, la mobilisation contre les fermetures de dessertes...
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Par contre, ils échangent régulièrement avec les cheminots et se sont inscrits partants pour une réflexion dans la plate forme du collectif rail 39.
Ce collectif a été créé par des cheminots dolois qui tentent d'élargir sur tout le jura la réflexion pour la sauvegarde et l'amélioration des lignes existantes pour un meilleur service à la population, la mobilisation contre les fermetures de dessertes...
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Transports
samedi 28 novembre 2009
Golf de Parcey
DES P'TITS TROUS, DES P'TITS TROUS, ENCORE DES P'TITS TROUS...
Le Grand Dole envisagerait-il sérieusement de soutenir un projet de golf à 18 trous, couplé avec un complexe hôtelier, sur un site autre que celui de Parcey ? Un aménagement immobilier conséquent n’est en effet pas possible sur ce site, zone naturelle sensible, dont il est le gestionnaire.
S’il y a un sport où celui qui le pratique apprécie le rapport à la nature, c’est bien le golf. Un parcours, c’est beau à l’œil, c’est un îlot de verdure, de tranquillité. Un golf, c’est un bol d’air et une promenade assurée quel que soit le niveau du joueur. Pourtant, en matière d'urbanisme et d'écologie, le golf fait polémique. Il faut dire qu’il arrive en quatrième position des sports ayant le plus fort impact environnemental, après le ski, les sports motorisés et le tir...
Un golf, c’est 40 hectares affectés à la plantation de gazon intensif ; le double si, comme en Suisse, on veut prévoir une surface ayant une fonction écologique compensatoire. Il faut en complément de nombreuses mains vertes, énormément d’eau et de fertilisants, pesticides, herbicides, fongicides et autres produits mortifères … L'Agref (l’association française des gestionnaires de golf) avait évalué en 2005 les besoins en eau à 3 176 m3 par hectare et par an, tandis qu’un rapport bien plus sévère du Sénat les chiffrait en 2003 à 3 800 m3, soit la consommation moyenne de 3 000 à 4 000 habitants ! Beaucoup, pour divertir les quelques centaines de membres d’un seul club.
Les promoteurs du golf affirment généralement, contre l'évidence, que le bilan écologique plaide en leur faveur, prétendant que la flore et la faune seraient gagnantes. Un tel gain pourrait effectivement se concevoir en cas d'aménagement dans une zone pauvre en éléments naturels, en réhabilitation d’une zone de friches industrielles périurbaines par exemple. Mais généralement, on choisi des sites naturels remarquables, où “ créer de la nature ”, c'est comme apporter du sable dans le désert ! Ces sites sont le plus souvent voués entièrement à la nature et à l'agriculture, activités contribuant directement à notre qualité de vie. Ce qui n'est pas toujours le cas des 550 terrains de golf en France…
À entendre les promoteurs du golf, ce serait un nouvel Eldorado… Mais rares sont les golfs rentables. Il faudrait 200 000 habitants à moins de 30 minutes pour qu’un golf puisse être rentable, et 30 000 parcours par an (500 golfeurs par week-end ?) ! Ces conditions n’ont aucune chance d’être satisfaites ici.
Pourquoi dès lors vouloir promouvoir la pratique de ce sport auprès des scolaires ? Celle-ci restera réservée à une petite minorité, et quelques mois dans l’année seulement, même si elle mobilise de manière conséquente les deniers publics, scandalisant beaucoup de contribuables. Il y a tellement d’autres priorités à satisfaire dans nos communes !
La couverture du grand bassin du parc Isis de Dole permettrait l’extension de son usage au-delà de la période estivale. S’il s’agit de développement touristique, imaginons alors un tourisme rustique, par un développement des sentiers balisés de randonnée, de promenade, d’aires de jeux et de pique-nique, de refuges, de gîtes, qui préserve le caractère familial du territoire et profite ainsi directement à ses habitants.
Aujourd’hui, chez nous, une exploitation agricole de proximité a plus de sens qu'un terrain de golf : 9 champs valent mieux que 18 trous !
Pascal Blain, président de “ Serre Vivante ”
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jeudi 26 novembre 2009
Voeu Copenhague voté par la majorité
Mardi 24 novembre, Isabelle Nouvellon a proposé en conseil municipal, le vote du voeu ci-après :
Vœu relatif à l’appel « l’ultimatum climatique »
proposé par la majorité du conseil municipal
Exposé :
Le climat est l’un des enjeux planétaires du siècle qui vient. La communauté scientifique internationale a fixé un impératif : stabiliser le climat à un niveau de réchauffement inférieur à 2°C, sous peine de conséquences environnementales et humanitaires majeures pour l’ensemble de la planète.
Dans la suite du protocole de Kyoto, se tiendra à Copenhague du 7 au 19 décembre prochain, le sommet de l’ONU où les Etats du monde entier ont le devoir de parvenir à un accord ambitieux pour enrayer l’inéluctable progression du dérèglement climatique.
Il est crucial que cette négociation internationale se traduise par des engagements forts, notamment de la part des pays industrialisés, qui ont une responsabilité historique et dont les émissions doivent impérativement décroître de 80% d’ici 2050. Les pays émergeants ont également un rôle stratégique à jouer, afin que leur légitime aspiration au bien être se fasse dans le cadre de nouveaux modèles de développement, sobres en carbone.
Cette exigence, vitale pour la planète, est accompagnée d’une forte mobilisation citoyenne et associative, qui se traduit par de nombreuses initiatives dont l’appel « l’Ultimatum climatique » (www.copenhague-2009.com), lancé par une douzaine d’ONG françaises, en vue de peser sur l’engagement de la France dans les négociations de Copenhague.
En conséquence :
Le conseil municipal émet le vœu que la ville de Dole devienne officiellement signataire et promoteur de l’appel « l’ultimatum climatique », dont les initiateurs comptent atteindre un million de signataires, en vue de peser sur des accords de haut niveau à Copenhague en décembre prochain.
Autorise la Maire de Dole à signer l’appel « l’Ultimatum Climatique »
Autorise la promotion de cet appel auprès des concitoyens sur le site internet de la ville.
Résultat du vote : Seule la majorité de l'équipe municipale a approuvé ce voeu, le groupe UMP par la voix de M. Fischer s'est abstenu, prétextant que ce n'était pas dans cette assemblée qu'on réglerait les problèmes de la planète.
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Vœu relatif à l’appel « l’ultimatum climatique »
proposé par la majorité du conseil municipal
Exposé :
Le climat est l’un des enjeux planétaires du siècle qui vient. La communauté scientifique internationale a fixé un impératif : stabiliser le climat à un niveau de réchauffement inférieur à 2°C, sous peine de conséquences environnementales et humanitaires majeures pour l’ensemble de la planète.
Dans la suite du protocole de Kyoto, se tiendra à Copenhague du 7 au 19 décembre prochain, le sommet de l’ONU où les Etats du monde entier ont le devoir de parvenir à un accord ambitieux pour enrayer l’inéluctable progression du dérèglement climatique.
Il est crucial que cette négociation internationale se traduise par des engagements forts, notamment de la part des pays industrialisés, qui ont une responsabilité historique et dont les émissions doivent impérativement décroître de 80% d’ici 2050. Les pays émergeants ont également un rôle stratégique à jouer, afin que leur légitime aspiration au bien être se fasse dans le cadre de nouveaux modèles de développement, sobres en carbone.
Cette exigence, vitale pour la planète, est accompagnée d’une forte mobilisation citoyenne et associative, qui se traduit par de nombreuses initiatives dont l’appel « l’Ultimatum climatique » (www.copenhague-2009.com), lancé par une douzaine d’ONG françaises, en vue de peser sur l’engagement de la France dans les négociations de Copenhague.
En conséquence :
Le conseil municipal émet le vœu que la ville de Dole devienne officiellement signataire et promoteur de l’appel « l’ultimatum climatique », dont les initiateurs comptent atteindre un million de signataires, en vue de peser sur des accords de haut niveau à Copenhague en décembre prochain.
Autorise la Maire de Dole à signer l’appel « l’Ultimatum Climatique »
Autorise la promotion de cet appel auprès des concitoyens sur le site internet de la ville.
Résultat du vote : Seule la majorité de l'équipe municipale a approuvé ce voeu, le groupe UMP par la voix de M. Fischer s'est abstenu, prétextant que ce n'était pas dans cette assemblée qu'on réglerait les problèmes de la planète.
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Conseil Municipal,
Isabelle Nouvellon
dimanche 22 novembre 2009
lundi 26 octobre 2009
Le jour de la nuit - action des néons
La nuit, dans les rues commerçantes de nos villes, nous nous retrouvons souvent face à des enseignes lumineuses restées allumées. Des néons de boutiques qui ont pourtant fermé leurs portes... A quoi servent ces néons ? A rendre la ville plus belle ? A continuer à marquer la présence d'un commerce ? A imposer une marque, un logo, une "identité" ?
ÉTAT DES LIEUX
Les enseignes des boutiques allumées toute la nuit représentent tout d’abord une agression publicitaire. Mais même au-delà de ce sentiment de harcèlement pesant, quel commerçant peut sincèrement considérer que ces néons allumés dans des rues quasi désertes sont efficaces pour augmenter ses ventes ?
De plus, ces néons consomment une quantité importante d’énergie. Alors qu’on gaspille, des gens dorment dans les renfoncements des boutiques. Sans parler de l’impact écologique de ces consommations d’énergie dans le contexte actuel de raréfaction des ressources et de réchauffement climatique.
Les néons engendrent donc une double pollution, celle pour produire l’électricité mais aussi celle, lumineuse, qui nous empêche de voir les étoiles...
UNE ACTION SENSÉE ET NON VIOLENTE
C’est pour monter cette dérive que le samedi 24 octobre, 1er jour de la nuit, nous avons éteint simplement ces néons. Ce geste simple et non violent ne dégrade pas les biens. Si dans certains cas, il faut reconnaître l'intérêt des enseignes lumineuses, il s’agit avant tout de dénoncer leur utilisation abusive, au service de la publicité. Nous sélectionnons avec attention les néons que nous éteignons. Nous n’agissons jamais sur un commerce ouvert, un café ouvert, une pharmacie ouverte... En revanche, en cas d’abus, nous n’hésitons pas. Le plus marquant étant le cas de certaines banques, dont les horaires sont restreints mais qui continuent d'afficher fièrement leur logo... de banque... la nuit. Des repères ? Oui mais trop de néons tuent le néon utile ! Trop de lumière éblouit ! Une enseigne indiquant un distributeur de billets, d'accord ; toute la banque allumée pour un distributeur de billets, non. Nous espérons que les commerçants prendront conscience de cette absurdité, et prendront les mesures nécessaires en éteignant leurs enseignes la nuit. L'éclairage de la voie publique pour guider les pas des habitants ne doit pas être financé par des fonds privés, mais par des fonds publics.
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ÉTAT DES LIEUX
Les enseignes des boutiques allumées toute la nuit représentent tout d’abord une agression publicitaire. Mais même au-delà de ce sentiment de harcèlement pesant, quel commerçant peut sincèrement considérer que ces néons allumés dans des rues quasi désertes sont efficaces pour augmenter ses ventes ?
De plus, ces néons consomment une quantité importante d’énergie. Alors qu’on gaspille, des gens dorment dans les renfoncements des boutiques. Sans parler de l’impact écologique de ces consommations d’énergie dans le contexte actuel de raréfaction des ressources et de réchauffement climatique.
Les néons engendrent donc une double pollution, celle pour produire l’électricité mais aussi celle, lumineuse, qui nous empêche de voir les étoiles...
UNE ACTION SENSÉE ET NON VIOLENTE
C’est pour monter cette dérive que le samedi 24 octobre, 1er jour de la nuit, nous avons éteint simplement ces néons. Ce geste simple et non violent ne dégrade pas les biens. Si dans certains cas, il faut reconnaître l'intérêt des enseignes lumineuses, il s’agit avant tout de dénoncer leur utilisation abusive, au service de la publicité. Nous sélectionnons avec attention les néons que nous éteignons. Nous n’agissons jamais sur un commerce ouvert, un café ouvert, une pharmacie ouverte... En revanche, en cas d’abus, nous n’hésitons pas. Le plus marquant étant le cas de certaines banques, dont les horaires sont restreints mais qui continuent d'afficher fièrement leur logo... de banque... la nuit. Des repères ? Oui mais trop de néons tuent le néon utile ! Trop de lumière éblouit ! Une enseigne indiquant un distributeur de billets, d'accord ; toute la banque allumée pour un distributeur de billets, non. Nous espérons que les commerçants prendront conscience de cette absurdité, et prendront les mesures nécessaires en éteignant leurs enseignes la nuit. L'éclairage de la voie publique pour guider les pas des habitants ne doit pas être financé par des fonds privés, mais par des fonds publics.
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Energie
mardi 20 octobre 2009
Le Jour de la nuit à DOLE le 24 Octobre
Destiné au grand public, le Jour de la Nuit est une opération de sensibilisation à la protection de la biodiversité nocturne et du ciel étoilé et à la pollution lumineuse. Depuis quelques années, la nuit est confrontée à la montée d’une pollution lumineuse issue d’une généralisation de l’éclairage nocturne. En dix ans, le nombre de points lumineux a augmenté de 30 % en France et s’élève à plus de 8,7 millions de points. Or cet éclairage artificiel perturbe la faune nocturne, faisant déserter certaines espèces des régions urbaines, fait disparaître le ciel étoilé, au grand dam d’astronomes en quête de sites d’observation. Cette pollution lumineuse alourdit également la facture écologique en gaspillant beaucoup trop d’énergie. Pour lutter contre les changements climatiques, et ce à quelques semaines du Sommet de Copenhague, il est nécessaire de revenir vers une utilisation plus raisonnée de l’énergie et donc de l’éclairage artificiel.
Marc Borneck et le service électricité de la ville ont réfléchi au moyen de s'engager dans cette action écologique et n'éclaireront pas cette nuit-là les monuments historiques (Collégiale, Médiathèque, Porte d’Arans), l’éclairage de certaines rues sera également amoindri (zone piétonnière de la rue des Arènes et grande rue).
Pour le 400ème anniversaire de l’observation du ciel par Galilée, les "Nuits galiléennes" coordonnées par l’Association Française d’Astronomie proposent à tous d’observer Jupiter et ses satellites ce samedi 24 octobre, l’animation sera conduite par le club d’astronomie de le MJC sur le parvis de la Médiathèque dès la tombée de la nuit, si le temps le permet.
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Marc Borneck et le service électricité de la ville ont réfléchi au moyen de s'engager dans cette action écologique et n'éclaireront pas cette nuit-là les monuments historiques (Collégiale, Médiathèque, Porte d’Arans), l’éclairage de certaines rues sera également amoindri (zone piétonnière de la rue des Arènes et grande rue).
Pour le 400ème anniversaire de l’observation du ciel par Galilée, les "Nuits galiléennes" coordonnées par l’Association Française d’Astronomie proposent à tous d’observer Jupiter et ses satellites ce samedi 24 octobre, l’animation sera conduite par le club d’astronomie de le MJC sur le parvis de la Médiathèque dès la tombée de la nuit, si le temps le permet.
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Marc Borneck
mardi 29 septembre 2009
Exonération : agriculture bio
Suite à la réflexion engagée sur l'approvisionnement de produits bio en circuit court sur la commune, et notamment le futur besoin dans la restauration collective (20% de bio en 2012), nous avons voulu soutenir ce mode d'agriculture.
Au dernier conseil municipal, j'ai donc présenté à l'assemblée, l'exonération de taxe foncière des agriculteurs pratiquant ce mode de culture.
Cette délibération a été votée à l'unanimité. L'opposition, ironiquement, s'est inquiété du manque à gagner de cette décision. Je lui ai précisé que j'espérais pousser ainsi la reconvertion au bio, des agriculteurs présents sur la commune.
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Au dernier conseil municipal, j'ai donc présenté à l'assemblée, l'exonération de taxe foncière des agriculteurs pratiquant ce mode de culture.
Cette délibération a été votée à l'unanimité. L'opposition, ironiquement, s'est inquiété du manque à gagner de cette décision. Je lui ai précisé que j'espérais pousser ainsi la reconvertion au bio, des agriculteurs présents sur la commune.
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Conseil Municipal,
Isabelle Nouvellon
vendredi 18 septembre 2009
Schéma des pistes cyclables
En quoi consiste le schéma des pistes cyclables de Dole ?
Depuis le début du mandat, la municipalité s’est engagée à développer des modes de transports doux. Mais pour qu’une véritable alternative à la voiture soit possible, il est nécessaire de prévoir des aménagements adaptés dans la ville. C’est ce que nous avons fait en créant le schéma des pistes cyclables. Ce schéma est un programme d’aménagement à moyen terme que nous souhaitons terminer d’ici la fin du mandat. Il comprend des travaux lourds comme ceux réalisés cet été avenue du Maréchal Juin ou d’autres plus légers comme la mise en place de signalisation d'itinéraires.
Comment a-t-il été dessiné ?
Des représentants de la ville, élus et agents, ont travaillé à la conception de ce schéma en collaboration avec le Collectif des usagers du vélo. Nous avons cherché à relier la ville du nord au sud, du Mont Roland à la forêt de Chaux. Nous avons aussi réfléchi aux liaisons des quartiers vers le centre ville, la gare et les établissements publics comme les écoles.
Le collectif des usagers du vélo nous aide également à identifier les endroits dangereux pour les cyclistes dans la ville et à améliorer leur sécurité. Concernant les axes entrants de la ville, nous y travaillons avec le Grand Dole. Nous voulons qu’au quotidien, les dolois puissent traverser la ville à vélo en toute sécurité.
Quels sont les prochains travaux à venir ?
Dans les semaines à venir, les services techniques vont installer en ville des parkings à vélo. Comme vous avez pu le voir, le pont de la Corniche fait actuellement l’objet de travaux afin de préparer la création de pistes cyclables l’année prochaine. Le Conseil Général doit réaliser un nouveau revêtement sur les voies, nous attendons donc que ce soit fait pour dessiner des pistes de part et d'autre de la chaussée . Grâce à ces pistes, il sera par exemple possible depuis le Poiset de rejoindre le lycée Duhamel à vélo en toute sécurité. Des pistes seront aussi créées rue Julien Feuvrier. Et de la signalétique à destination des cyclistes sera mise en place.
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Depuis le début du mandat, la municipalité s’est engagée à développer des modes de transports doux. Mais pour qu’une véritable alternative à la voiture soit possible, il est nécessaire de prévoir des aménagements adaptés dans la ville. C’est ce que nous avons fait en créant le schéma des pistes cyclables. Ce schéma est un programme d’aménagement à moyen terme que nous souhaitons terminer d’ici la fin du mandat. Il comprend des travaux lourds comme ceux réalisés cet été avenue du Maréchal Juin ou d’autres plus légers comme la mise en place de signalisation d'itinéraires.
Comment a-t-il été dessiné ?
Des représentants de la ville, élus et agents, ont travaillé à la conception de ce schéma en collaboration avec le Collectif des usagers du vélo. Nous avons cherché à relier la ville du nord au sud, du Mont Roland à la forêt de Chaux. Nous avons aussi réfléchi aux liaisons des quartiers vers le centre ville, la gare et les établissements publics comme les écoles.
Le collectif des usagers du vélo nous aide également à identifier les endroits dangereux pour les cyclistes dans la ville et à améliorer leur sécurité. Concernant les axes entrants de la ville, nous y travaillons avec le Grand Dole. Nous voulons qu’au quotidien, les dolois puissent traverser la ville à vélo en toute sécurité.
Quels sont les prochains travaux à venir ?
Dans les semaines à venir, les services techniques vont installer en ville des parkings à vélo. Comme vous avez pu le voir, le pont de la Corniche fait actuellement l’objet de travaux afin de préparer la création de pistes cyclables l’année prochaine. Le Conseil Général doit réaliser un nouveau revêtement sur les voies, nous attendons donc que ce soit fait pour dessiner des pistes de part et d'autre de la chaussée . Grâce à ces pistes, il sera par exemple possible depuis le Poiset de rejoindre le lycée Duhamel à vélo en toute sécurité. Des pistes seront aussi créées rue Julien Feuvrier. Et de la signalétique à destination des cyclistes sera mise en place.
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Isabelle Nouvellon,
Transports
mardi 15 septembre 2009
Réseau de bus du Grand Dole
Les élus verts de l'agglomération du Grand Dole se réjouissent de la mise en place du nouveau TGD, qui allie la couverture de tout le territoire, la fréquence des bus et le prix attractif sur l'année. Ils resteront vigilants sur l'évolution du parc en véhicules propres annoncé par les acteurs.
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Grand Dole,
Transports
dimanche 13 septembre 2009
Pourquoi laisse-t-on pousser les mauvaises herbes à Dole ?
Les méfaits reconnus des pesticides ont depuis longtemps poussé des collectivités à réduire, voire à abandonner l'usage de pesticides et d'engrais chimiques. Les scientifiques et les écologistes dénoncent les ravages sanitaires que provoquent leur utilisation (maux de tête, irritations, troubles nerveux ou respiratoires...) dont les agents municipaux sont les premières victimes.
La municipalité a trois préoccupations : la propreté de la ville, la préservation de la biodiversité et la santé de ses habitants, visiteurs, agents municipaux.
Depuis un an, l'utilisation de désherbants chimiques s'est réduit afin de lutter contre la pollution des sols et de l'eau et préserver la santé de tous. Une nouvelle politique de désherbage se met en place : des plantes ont été choisies sur des critères de durabilité et de besoins plus faibles en engrais, en eau, des solutions alternatives de nettoyage sont testées (thermiques, manuels, produits biologiques..., mais surtout gestion des mauvaises herbes).
Cela signifie que, dans les rues et au pied des arbres, poussent des plantes, des graminées et des fleurs sauvages. Ressenties comme inesthétiques dans la ville, elles constituent une contrepartie inévitable de la protection de la santé des habitants. Ce n'est pas sale, c'est juste une expression de la nature en ville.
D'autre part, à certains endroits de la ville, les pelouses rases sont remplacées par des prairies urbaines fauchées deux fois par an où poussent des herbes sauvages, véritables richesses de la biodiversité en ville.
Ce changement de pratiques s'accompagne dès cet automne, par la formation à la gestion différenciée des espaces et au développement durable, des agents en charge de ces questions (espaces verts, propreté).
« Faire venir la nature en ville », c'est ce que s'applique à faire la collectivité dans les espaces publics. Mais là, comme ailleurs, nous allons devoir changer notre regard sur lesdites « mauvaises herbes ».
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La municipalité a trois préoccupations : la propreté de la ville, la préservation de la biodiversité et la santé de ses habitants, visiteurs, agents municipaux.
Depuis un an, l'utilisation de désherbants chimiques s'est réduit afin de lutter contre la pollution des sols et de l'eau et préserver la santé de tous. Une nouvelle politique de désherbage se met en place : des plantes ont été choisies sur des critères de durabilité et de besoins plus faibles en engrais, en eau, des solutions alternatives de nettoyage sont testées (thermiques, manuels, produits biologiques..., mais surtout gestion des mauvaises herbes).
Cela signifie que, dans les rues et au pied des arbres, poussent des plantes, des graminées et des fleurs sauvages. Ressenties comme inesthétiques dans la ville, elles constituent une contrepartie inévitable de la protection de la santé des habitants. Ce n'est pas sale, c'est juste une expression de la nature en ville.
D'autre part, à certains endroits de la ville, les pelouses rases sont remplacées par des prairies urbaines fauchées deux fois par an où poussent des herbes sauvages, véritables richesses de la biodiversité en ville.
Ce changement de pratiques s'accompagne dès cet automne, par la formation à la gestion différenciée des espaces et au développement durable, des agents en charge de ces questions (espaces verts, propreté).
« Faire venir la nature en ville », c'est ce que s'applique à faire la collectivité dans les espaces publics. Mais là, comme ailleurs, nous allons devoir changer notre regard sur lesdites « mauvaises herbes ».
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Isabelle Nouvellon
dimanche 6 septembre 2009
ON NE NEGOCIE PAS AVEC LE CLIMAT, ON AGIT
« Au mois de décembre de cette année se tiendra à Copenhague le Sommet de l’ONU sur le climat. Confrontés au péril climatique, les dirigeants du monde entier devront parvenir à surmonter leurs divergences d’intérêts de court terme pour se rassembler autour d’un projet politique mondial fondé sur un constat scientifique objectif et ainsi donner une suite au protocole de Kyoto qui soit à la hauteur des enjeux que nous allons devoir tous ensemble affronter dans les décennies à venir. Le résultat de cette conférence dessinera l’avenir climatique de l’humanité. »
Ainsi commence la lettre adressée au président Sarkozy par les ONG (protecteurs de l’environnement, des droits humains ou de la solidarité internationale).
Le problème du réchauffement climatique n’est pas celui des pays du Sud, mais bien une catastrophe mondiale, comme le montrent les diverses catastrophes climatiques qui s’enchaînent depuis quelques années sur toute la partie du globe (Tsunami, tremblements de terre à répétition, ouragans, incendies, inondations de plus en plus ravageuses…). Les pays les plus gravement touchés sont souvent des pays pauvres.
Notre pays n’est pourtant pas épargné : différences de températures importantes (été 2003 le plus meurtrier), glaciers des Alpes se réduisant comme peau de chagrin, invasions de plantes et d’insectes venant de pays tropicaux avec leur lot d’affections transmissibles, agricultures dévastées par des grêlons gros comme des balles de ping-pong, rivières sortant de leur lit en quelques minutes inondant des villages entiers…
A l’échelle de la région doloise, cet été, nous avons essuyé plusieurs tornades, mais les nappes phréatiques ne se remplissent pas pour autant, laissant présager à terme des restrictions d’eau pour tous. Un indice marquant du réchauffement climatique, c’est la date des vendanges qui a avancé d’un mois en moins de 30 ans.
La terre est en colère et il y a urgence pour les pays développés, ceux qui sont à l’origine de ce désastre, à prendre des mesures pour une diminution drastique de leurs émissions de gaz à effet de serre.
« … les pays industrialisés portent la responsabilité morale, légale et économique de mener le combat contre le dérèglement du climat. Monsieur le Président, vous vous devez de prendre la tête de ce combat qui est sans aucun doute l’enjeu de ce siècle. Notre avenir commun dépendra dans deux cents jours des choix politiques qui seront faits. ».
Nous vous invitons vivement à signer cet appel : cliquer ici
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Ainsi commence la lettre adressée au président Sarkozy par les ONG (protecteurs de l’environnement, des droits humains ou de la solidarité internationale).
Le problème du réchauffement climatique n’est pas celui des pays du Sud, mais bien une catastrophe mondiale, comme le montrent les diverses catastrophes climatiques qui s’enchaînent depuis quelques années sur toute la partie du globe (Tsunami, tremblements de terre à répétition, ouragans, incendies, inondations de plus en plus ravageuses…). Les pays les plus gravement touchés sont souvent des pays pauvres.
Notre pays n’est pourtant pas épargné : différences de températures importantes (été 2003 le plus meurtrier), glaciers des Alpes se réduisant comme peau de chagrin, invasions de plantes et d’insectes venant de pays tropicaux avec leur lot d’affections transmissibles, agricultures dévastées par des grêlons gros comme des balles de ping-pong, rivières sortant de leur lit en quelques minutes inondant des villages entiers…
A l’échelle de la région doloise, cet été, nous avons essuyé plusieurs tornades, mais les nappes phréatiques ne se remplissent pas pour autant, laissant présager à terme des restrictions d’eau pour tous. Un indice marquant du réchauffement climatique, c’est la date des vendanges qui a avancé d’un mois en moins de 30 ans.
La terre est en colère et il y a urgence pour les pays développés, ceux qui sont à l’origine de ce désastre, à prendre des mesures pour une diminution drastique de leurs émissions de gaz à effet de serre.
« … les pays industrialisés portent la responsabilité morale, légale et économique de mener le combat contre le dérèglement du climat. Monsieur le Président, vous vous devez de prendre la tête de ce combat qui est sans aucun doute l’enjeu de ce siècle. Notre avenir commun dépendra dans deux cents jours des choix politiques qui seront faits. ».
Nous vous invitons vivement à signer cet appel : cliquer ici
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Isabelle Nouvellon
Des boules comme à Noël
Voici ce qu'on peut voir sur la zone des Epenottes depuis quelques temps. Devant une structure commerciale en construction, s'alignent des réverbères à deux boules tous les 5 mètres. Scandaleux, à l'heure où nous nous devons de réduire notre consommation énergétique, qui plus est, dans un endroit où seuls les chats s'y baladent la nuit. Comment l'aménageur n'a-t-il pas pu recevoir les messages de sobriété énergétique transmis via les médias au regard de l'épuisement des ressources ? Les réverbères munis d'ampoules à économie d'énergie, sont trop nombreux et éclairent le ciel, ce qui annule la bonne intention du départ.
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Isabelle Nouvellon
mardi 1 septembre 2009
Les élus écologistes dolois opposés à la carrière de Moissey
le Progrès : 01.09.2009
« On a perdu une bataille mais tout n'est pas terminé » souligne avec force Marc Borneck, conseiller municipal écologiste de Dole à propos du combat juridique lancé contre la carrière de Moissey. Et à l'heure où s'ouvre l'enquête d'utilité publique, il revient à la charge. « Le projet d'extension est aberrant. On veut que la population prenne conscience des enjeux » déclare-t-il.
Pour lui? comme pour sa collègue élue Isabelle Nouvelon, « ce massif de la Serre est d'un intérêt fondamental pour ce territoire ». C'est la raison pour laquelle il exhorte à « ne pas le dilapider ».
Enjeu touristique, enjeu écologique, enjeu financier.... à leur sens, les motifs d'opposition à une autorisation de continuer d'exploiter, sur 30 années encore ce filon d'eurite, ne manquent pas.
D'abord, ce minerai est très rare. Ce site est unique dans le Jura et il convient donc d'utiliser la roche avec parcimonie. « Nous pourrions en avoir besoin pour les générations futures » estiment les élus.
Et puis, Dole s'est engagée dans une politique de chauffage au bois. Sacrifier 14 hectares de surfaces boisées paraît discutable.
Ensuite, le site est en zone Natura 2000 et il recèle des espèces floristiques et faunistiques rares.
Enfin au-delà des nuisances sonores, ce projet créera « une saignée dans le massif ». Une pollution visuelle guère compatible estiment-ils avec la perspective d'un développement touristique.
Quant à la taxe de fortage dont ils ne nient pas qu'elle représente une rentrée très intéressante pour les communes concernées, elle leur semble bien inférieure aux tarifs pratiqués dans d'autres départements.
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« On a perdu une bataille mais tout n'est pas terminé » souligne avec force Marc Borneck, conseiller municipal écologiste de Dole à propos du combat juridique lancé contre la carrière de Moissey. Et à l'heure où s'ouvre l'enquête d'utilité publique, il revient à la charge. « Le projet d'extension est aberrant. On veut que la population prenne conscience des enjeux » déclare-t-il.
Pour lui? comme pour sa collègue élue Isabelle Nouvelon, « ce massif de la Serre est d'un intérêt fondamental pour ce territoire ». C'est la raison pour laquelle il exhorte à « ne pas le dilapider ».
Enjeu touristique, enjeu écologique, enjeu financier.... à leur sens, les motifs d'opposition à une autorisation de continuer d'exploiter, sur 30 années encore ce filon d'eurite, ne manquent pas.
D'abord, ce minerai est très rare. Ce site est unique dans le Jura et il convient donc d'utiliser la roche avec parcimonie. « Nous pourrions en avoir besoin pour les générations futures » estiment les élus.
Et puis, Dole s'est engagée dans une politique de chauffage au bois. Sacrifier 14 hectares de surfaces boisées paraît discutable.
Ensuite, le site est en zone Natura 2000 et il recèle des espèces floristiques et faunistiques rares.
Enfin au-delà des nuisances sonores, ce projet créera « une saignée dans le massif ». Une pollution visuelle guère compatible estiment-ils avec la perspective d'un développement touristique.
Quant à la taxe de fortage dont ils ne nient pas qu'elle représente une rentrée très intéressante pour les communes concernées, elle leur semble bien inférieure aux tarifs pratiqués dans d'autres départements.
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Isabelle Nouvellon,
Marc Borneck
mardi 28 juillet 2009
Où ranger son vélo en ville ?
C'est une des questions du collectif des usagers du vélo ! En effet, quand on se déplace en vélo, on devrait pouvoir garer son véhicule facilement. Hélas, sur Dole, rares sont ces aménagements spéciaux.
Un premier travail en centre-ville a donc été effectué à ma demande par le collectif vélos, pour repérer les endroits stratégiques où poser ce mobilier urbain.
Cette association m'est d'une grande utilité et les dossiers peuvent avancer plus rapidement et objectivement.
J'avais pensé que tout ceci serait en place pour l'été, mais je suis un peu trop optimiste. Le choix du matériel a été fait ainsi que la commande.
L'installation interviendra à l'automne.
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Un premier travail en centre-ville a donc été effectué à ma demande par le collectif vélos, pour repérer les endroits stratégiques où poser ce mobilier urbain.
Cette association m'est d'une grande utilité et les dossiers peuvent avancer plus rapidement et objectivement.
J'avais pensé que tout ceci serait en place pour l'été, mais je suis un peu trop optimiste. Le choix du matériel a été fait ainsi que la commande.
L'installation interviendra à l'automne.
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Isabelle Nouvellon,
Transports
mercredi 15 juillet 2009
Portez-vous au secours des hirondelles !
L’hirondelle annonce le printemps dans notre ville, et nous sommes ravis de la voir de retour chaque année dans son nid d’origine. Malheureusement, cette espèce est très menacée.
L’hirondelle de fenêtre, qui comme son nom l’indique fait fréquemment son nid dans les encoignures de fenêtre, est un oiseau protégé au niveau européen. En France, sa population a chuté de 40% en 20 ans.
Le fait que dans les zones urbanisées, les nids soient ancrés à des constructions est une des explications de ce déclin : la réfection des façades d’où la destruction de nids existants, et les matériaux de rénovation souvent trop lisses et parfois répulsifs, en interdisent souvent la recolonisation.
Les déjections de ces oiseaux amènent également les propriétaires de bâtiments à détruire les nids.
Cette pratique est bien sûr interdite : depuis l'arrêté du 17 avril 1981, toutes les espèces d'hirondelles sont protégées (infraction passible d'une amende de 9 000 euros et d'une peine d'emprisonnement de six mois). La destruction ou l'enlèvement des oeufs et des nids est absolument interdit.
Des solutions existent pour pallier les inconvénients liés aux déjections de ces oiseaux et pour vous aider à trouver des solutions lorsque vous faites des travaux.
C’’est pourquoi, je vous demande votre aide pour établir l’inventaire des nids d’hirondelles sur la ville de Dole, en nous envoyant leur localisation à : hirondelles@dole.org ou par courrier en mairie en précisant « opération hirondelles ».
N’oubliez pas d’y joindre vos coordonnées, une association doloise répondra à vos interrogations et vous indiquera les bons gestes à suivre.
Cette opération fait partie d’une démarche de protection de la biodiversité, impulsée par la ville de Dole.
Merci pour votre contribution à la préservation de la planète.
Isabelle Nouvellon
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L’hirondelle de fenêtre, qui comme son nom l’indique fait fréquemment son nid dans les encoignures de fenêtre, est un oiseau protégé au niveau européen. En France, sa population a chuté de 40% en 20 ans.
Le fait que dans les zones urbanisées, les nids soient ancrés à des constructions est une des explications de ce déclin : la réfection des façades d’où la destruction de nids existants, et les matériaux de rénovation souvent trop lisses et parfois répulsifs, en interdisent souvent la recolonisation.
Les déjections de ces oiseaux amènent également les propriétaires de bâtiments à détruire les nids.
Cette pratique est bien sûr interdite : depuis l'arrêté du 17 avril 1981, toutes les espèces d'hirondelles sont protégées (infraction passible d'une amende de 9 000 euros et d'une peine d'emprisonnement de six mois). La destruction ou l'enlèvement des oeufs et des nids est absolument interdit.
Des solutions existent pour pallier les inconvénients liés aux déjections de ces oiseaux et pour vous aider à trouver des solutions lorsque vous faites des travaux.
C’’est pourquoi, je vous demande votre aide pour établir l’inventaire des nids d’hirondelles sur la ville de Dole, en nous envoyant leur localisation à : hirondelles@dole.org ou par courrier en mairie en précisant « opération hirondelles ».
N’oubliez pas d’y joindre vos coordonnées, une association doloise répondra à vos interrogations et vous indiquera les bons gestes à suivre.
Cette opération fait partie d’une démarche de protection de la biodiversité, impulsée par la ville de Dole.
Merci pour votre contribution à la préservation de la planète.
Isabelle Nouvellon
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Isabelle Nouvellon
mercredi 8 juillet 2009
500 ans de la collégiale
Les élus verts en délégation "renaissance" lors de la cérémonie d'ouverture de la collégiale de Dole, suite aux travaux de rénovation.
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mercredi 1 juillet 2009
Précaution sur le choix des plantes
Dans nos massifs et parcs urbains, fleurissent des multitudes de plantes, pour le plaisir des yeux et de l'odorat
Mais attention, notre vigilance doit être de mise, dans le choix de ces variétés. .
En effet, parfois se glisse, par inadvertance, une plante dite "nocive" et il est préférable de ne pas l'introduire dans les parcs publics.
C'est pourquoi, la brugmansia qui arborait ses couleurs dans un des massif de la ville, a été arrachée. Elle fait partie de la famille des daturas, plante toxique et hallucinogène.
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Mais attention, notre vigilance doit être de mise, dans le choix de ces variétés. .
En effet, parfois se glisse, par inadvertance, une plante dite "nocive" et il est préférable de ne pas l'introduire dans les parcs publics.
C'est pourquoi, la brugmansia qui arborait ses couleurs dans un des massif de la ville, a été arrachée. Elle fait partie de la famille des daturas, plante toxique et hallucinogène.
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samedi 27 juin 2009
L'écologie politique : force incontournable de transformation.
Il y a quelques mois peu d’observateurs pensaient qu’en période de crise sociale, financière et économique, l’Europe et l’Ecologie pouvaient constituer des enjeux fédérateurs et engendrer une dynamique politique et électorale. Et pourtant, ce résultat exceptionnel est là, démontrant une des préoccupations majeures des français pour leur avenir : la nécessité de doter l’Europe d’un projet politique bâti autour de la transformation écologique de l’économie et de la société. Ce résultat exprime une volonté de construire pour nos enfants un avenir meilleur, un avenir fondé sur un mieux être.
Après la candidature fondatrice de René Dumont aux présidentielles de 1974, la création des Verts, leur engagement politique depuis des années, l’élection et le travail quotidien de milliers d’élus écologistes dans les exécutifs locaux et régionaux, après le Pacte Ecologique de Nicolas Hulot en 2007, après l’engagement des ONG et des associations environnementales dans le Grenelle de l’environnement, une nouvelle étape est désormais franchie : celle de la crédibilité de l’écologie politique et son installation dans le paysage politique français et européen.
L’écologie n’est plus simplement celle des lanceurs d’alerte qui témoignent pour les générations futures des dégâts du présent, elle doit proposer, agir et porter avec conviction ses propres valeurs. Elle doit se revendiquer comme la force incontournable de transformation qui réconciliera l’homme et la nature.
Mais ne soyons pas naïfs, les transformations ne se font pas toutes seules ou au hasard de telle ou telle séquence électorale ou de tel ou tel combat gagné.
Pour prolonger réellement l’aventure, nous avons besoin d’imaginer de nouvelles formes de mobilisation, de nouvelles formes de travail en commun, en bref nous avons toujours besoin les uns des autres.
C’est pourquoi, n’hésitez pas à nous interpeller, à exprimer vos idées, vos craintes, vos souhaits, sur notre blog.
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Après la candidature fondatrice de René Dumont aux présidentielles de 1974, la création des Verts, leur engagement politique depuis des années, l’élection et le travail quotidien de milliers d’élus écologistes dans les exécutifs locaux et régionaux, après le Pacte Ecologique de Nicolas Hulot en 2007, après l’engagement des ONG et des associations environnementales dans le Grenelle de l’environnement, une nouvelle étape est désormais franchie : celle de la crédibilité de l’écologie politique et son installation dans le paysage politique français et européen.
L’écologie n’est plus simplement celle des lanceurs d’alerte qui témoignent pour les générations futures des dégâts du présent, elle doit proposer, agir et porter avec conviction ses propres valeurs. Elle doit se revendiquer comme la force incontournable de transformation qui réconciliera l’homme et la nature.
Mais ne soyons pas naïfs, les transformations ne se font pas toutes seules ou au hasard de telle ou telle séquence électorale ou de tel ou tel combat gagné.
Pour prolonger réellement l’aventure, nous avons besoin d’imaginer de nouvelles formes de mobilisation, de nouvelles formes de travail en commun, en bref nous avons toujours besoin les uns des autres.
C’est pourquoi, n’hésitez pas à nous interpeller, à exprimer vos idées, vos craintes, vos souhaits, sur notre blog.
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mardi 16 juin 2009
Protection oiseaux à Rochebelle
Comme je vous l'avais signalé, un arrêté de biotope protège maintenant les oiseaux du "bois des acacias" dans le quartier de Rochebelle.
Il s'agit d'une colonie de Bihoreaux gris, espèces protégées par la directive oiseaux européenne.
Cette nouvelle a attiré d'autres locataires dans ce bois, trois nichées d'Aigrettes Garzettes ; apparemment, une première en Franche-Comté !
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Il s'agit d'une colonie de Bihoreaux gris, espèces protégées par la directive oiseaux européenne.
Cette nouvelle a attiré d'autres locataires dans ce bois, trois nichées d'Aigrettes Garzettes ; apparemment, une première en Franche-Comté !
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Dans les crèches : Biberons sans BPA, phtalates...
Connu comme perturbateur endocrinien, le BisphénolA (qui entre dans la composition de certains biberons) est un composant plastique potentiellement dangereux dans le contact alimentaire.
Le service achats de la Mairie de Dole, soucieuse de ce problème, ne commandera plus de biberons contenant du BPA ou phtalates et cie... et veille à remplacer tous les anciens biberons !
Isabelle Nouvellon
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Le service achats de la Mairie de Dole, soucieuse de ce problème, ne commandera plus de biberons contenant du BPA ou phtalates et cie... et veille à remplacer tous les anciens biberons !
Isabelle Nouvellon
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mercredi 10 juin 2009
Sandrine Bélier - Députée européenne
Cher-e-s ami-e-s signataires,
Le succès d'Europe Ecologie aux élections européennes de dimanche dernier, suscite un espoir sans précédent. Malgré un taux d'abstention élevé, les listes Europe Ecologie atteignent partout un score historique. Dans la Région Est, notre liste arrive en 3ème position. Aujourd'hui, le rassemblement Europe Ecologie est devenu une force qui compte, et dont il faudra tenir compte !
Après cinq mois de présence continue sur le terrain et une campagne axée sur des propositions concrètes de sortie de crise à l'échelle européenne, l'heure est désormais à la construction. Vous nous avez témoigné une confiance sans précédent et je m'engage désormais, en tant que députée européenne, à construire les majorités nécessaires à la mise en application du projet que nous portons. Ce projet est, sur le plan européen, celui d'une Europe plus juste, plus responsable et porteuse d'un modèle nouveau de développement fondé sur une triple exigence économique, sociale et environnementale. Ce projet est, sur le plan de l'Eurorégion Est, celui porté par l'ensemble des membres de la liste Europe Ecologie que j'ai eu l'honneur de conduire. Il est celui porté par des hommes et femmes d'une grande valeur auxquels je renouvelle aujourd'hui mon attachement et mes remerciements les plus sincères.
Bien plus que de la victoire d'une liste, il s'agit aujourd'hui de celle des militants du quotidien. Ce succès d'Europe Ecologie dans l'Est, sur l'ensemble du territoire français et, au-delà, des listes écologistes en Europe, marque une nouvelle ère politique. Saul Alinski, auteur du Guide de l'animateur social, un des pères de la résistance pacifistes pour les droits civiques, écrivait dans les années 60 : « De la pollution de l'air à celle de la politique, il n'y a qu'un pas vite franchi. Alors rappelez-vous ceci : une fois que vous aurez réussi à organiser les gens sur un problème aussi banal que la pollution, alors c'est le peuple qui sera en marche ». Aujourd'hui plus que jamais, oui, je crois que le peuple écologiste est en marche.
Merci à vous pour votre enthousiasme, votre engagement et mobilisation quotidiens qui prouvent qu'ensemble tout est possible!
Je vous donne rendez-vous très bientôt sur vos territoires et soyez assurés que vous pouvez compter sur moi et l'ensemble du groupe. Nous serons nous montrer dignes de votre confiance et de votre espoir d'une Europe plus écologique et plus sociale.
Sandrine BELIER
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Le succès d'Europe Ecologie aux élections européennes de dimanche dernier, suscite un espoir sans précédent. Malgré un taux d'abstention élevé, les listes Europe Ecologie atteignent partout un score historique. Dans la Région Est, notre liste arrive en 3ème position. Aujourd'hui, le rassemblement Europe Ecologie est devenu une force qui compte, et dont il faudra tenir compte !
Après cinq mois de présence continue sur le terrain et une campagne axée sur des propositions concrètes de sortie de crise à l'échelle européenne, l'heure est désormais à la construction. Vous nous avez témoigné une confiance sans précédent et je m'engage désormais, en tant que députée européenne, à construire les majorités nécessaires à la mise en application du projet que nous portons. Ce projet est, sur le plan européen, celui d'une Europe plus juste, plus responsable et porteuse d'un modèle nouveau de développement fondé sur une triple exigence économique, sociale et environnementale. Ce projet est, sur le plan de l'Eurorégion Est, celui porté par l'ensemble des membres de la liste Europe Ecologie que j'ai eu l'honneur de conduire. Il est celui porté par des hommes et femmes d'une grande valeur auxquels je renouvelle aujourd'hui mon attachement et mes remerciements les plus sincères.
Bien plus que de la victoire d'une liste, il s'agit aujourd'hui de celle des militants du quotidien. Ce succès d'Europe Ecologie dans l'Est, sur l'ensemble du territoire français et, au-delà, des listes écologistes en Europe, marque une nouvelle ère politique. Saul Alinski, auteur du Guide de l'animateur social, un des pères de la résistance pacifistes pour les droits civiques, écrivait dans les années 60 : « De la pollution de l'air à celle de la politique, il n'y a qu'un pas vite franchi. Alors rappelez-vous ceci : une fois que vous aurez réussi à organiser les gens sur un problème aussi banal que la pollution, alors c'est le peuple qui sera en marche ». Aujourd'hui plus que jamais, oui, je crois que le peuple écologiste est en marche.
Merci à vous pour votre enthousiasme, votre engagement et mobilisation quotidiens qui prouvent qu'ensemble tout est possible!
Je vous donne rendez-vous très bientôt sur vos territoires et soyez assurés que vous pouvez compter sur moi et l'ensemble du groupe. Nous serons nous montrer dignes de votre confiance et de votre espoir d'une Europe plus écologique et plus sociale.
Sandrine BELIER
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dimanche 10 mai 2009
20 mai - PASSIFLORE
Dans le cadre de l’opération « Passiflore, je réduits mes déchets » conduite sur le territoire du Grand Dole depuis novembre dernier, Jura Nature Environnement et son association locale Serre Vivante, organisent une soirée sur le thème des « Plans Locaux de Prévention des Déchets » le Mercredi 20 mai 2009 à 20 h 30 à la salle Edgar Faure, Mairie de Dole.
Ont été sollicités un représentant de la communauté de communes Rives de Saône, un représentant de la commu nauté d’agglomération du Grand Besançon, Eric Alauzet, président du Syndicat mixte de Besançon et sa Région pour le Traitement des déchets (SYBERT) ainsi qu’un représentant de l’ADEME.
La résolution 247 du Grenelle de l’Environnement vise à généraliser les plans locaux de prévention des déchets qui doivent contribuer à atteindre les objectifs annoncés de réduction de 7% d’ici 2013 pendant 5 ans de la production d’ordures ménagères et de 15% d’ici 2012 des quantités de déchets à stocker ou à incinérer. Les financements nécessaires proviendront des recettes de la nouvelle taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) concernant l’incinération et la mise en décharge qui défraye depuis plusieurs mois la chronique !
À travers les diverses interventions proposées, chacun pourra juger de la pertinence des programmes initiés par d’autres collectivités dans ce domaine, appréhender le contenu d’un programme d’actions concrètes, découvrir le dispositif de soutien mis en place par l’État dès 2009 pour accompagner les collectivités locales disposées à s’engager dans un programme local de prévention des déchets …
Au-delà des élus locaux, cette soirée d’information est largement ouverte à tous les citoyens soucieux de mieux comprendre les enjeux de notre société.
Entrée libre et gratuite.
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Ont été sollicités un représentant de la communauté de communes Rives de Saône, un représentant de la commu nauté d’agglomération du Grand Besançon, Eric Alauzet, président du Syndicat mixte de Besançon et sa Région pour le Traitement des déchets (SYBERT) ainsi qu’un représentant de l’ADEME.
La résolution 247 du Grenelle de l’Environnement vise à généraliser les plans locaux de prévention des déchets qui doivent contribuer à atteindre les objectifs annoncés de réduction de 7% d’ici 2013 pendant 5 ans de la production d’ordures ménagères et de 15% d’ici 2012 des quantités de déchets à stocker ou à incinérer. Les financements nécessaires proviendront des recettes de la nouvelle taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) concernant l’incinération et la mise en décharge qui défraye depuis plusieurs mois la chronique !
À travers les diverses interventions proposées, chacun pourra juger de la pertinence des programmes initiés par d’autres collectivités dans ce domaine, appréhender le contenu d’un programme d’actions concrètes, découvrir le dispositif de soutien mis en place par l’État dès 2009 pour accompagner les collectivités locales disposées à s’engager dans un programme local de prévention des déchets …
Au-delà des élus locaux, cette soirée d’information est largement ouverte à tous les citoyens soucieux de mieux comprendre les enjeux de notre société.
Entrée libre et gratuite.
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mardi 5 mai 2009
Compostez aux Mesnils Pasteur
Vous habitez aux Mesnils Pasteur et vous voulez alléger vos poubelles tout en aidant à la fabrication de compost.
C'est simple, 4 composteurs sont installés aux jardins familiaux des Sorbiers, où vous pouvez amener vos déchets putrescibles. Vous pouvez également vous inscrire auprès du président des jardins familiaux pour qu'il vous confie un bio-seau pour transporter ces déchets.
Les déchets à déposer dans ces composteurs sont : toutes les épluchures, le thé, marc de café (avec les filtres), coquille d'oeufs, feuilles mortes...
Ces déchets ainsi composter reviendront à la terre, et serviront à l'engrais des jardins.
Cette opération a pu être réaliser grâce à Pascal Blain (opération Passiflore). J'ai, au nom de la collectivité, fourni une cabane et des outils pour le compostage, ainsi que les bio seaux nécessaires. Les composteurs ont été offerts par le SICTOM.
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C'est simple, 4 composteurs sont installés aux jardins familiaux des Sorbiers, où vous pouvez amener vos déchets putrescibles. Vous pouvez également vous inscrire auprès du président des jardins familiaux pour qu'il vous confie un bio-seau pour transporter ces déchets.
Les déchets à déposer dans ces composteurs sont : toutes les épluchures, le thé, marc de café (avec les filtres), coquille d'oeufs, feuilles mortes...
Ces déchets ainsi composter reviendront à la terre, et serviront à l'engrais des jardins.
Cette opération a pu être réaliser grâce à Pascal Blain (opération Passiflore). J'ai, au nom de la collectivité, fourni une cabane et des outils pour le compostage, ainsi que les bio seaux nécessaires. Les composteurs ont été offerts par le SICTOM.
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Déchets,
Isabelle Nouvellon
mercredi 29 avril 2009
Grippe écologique
L'agriculture industrielle responsable de la grippe écologique, selon Daniel Cohn-Bendit
LEMONDE.FR avec AFP | 28.04.09 | 10h04
L'épidémie de grippe porcine "est une crise de notre mode de vie", "une crise de la dégradation écologique", estime Daniel Cohn-Bendit, tête de liste d'EuropeEcologie pour les élections européennes en Ile-de-France qui met en cause, mardi 28 avril, sur France 2, "l'agriculture industrielle".
"Toute cette agriculture industrielle aujourd'hui produit de plus en plus de folie", dit-il, rappelant qu'"on avait eu la vache folle" "Ce qu'on mange, c'est ce qu'on donne aussi aux animaux, alors si on leur donne beaucoup d'antibiotiques et tout ça, nous devenons résistants aux antibiotiques, donc c'est une chaîne infernale qui se développe", a-t-il dit. Selon lui, "en général, ce genre de maladies, ce genre de grippes sont les conséquences de nos modes de vie et donc à long terme, il faut changer nos modes de vie, à court terme il faut un principe de précaution très strict".
L'épidémie de grippe porcine s'étendait mardi matin à l'Europe avec trois cas avérés après son apparition au Mexique, où 152 décès pourraient lui être imputés depuis le 24 avril.
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LEMONDE.FR avec AFP | 28.04.09 | 10h04
L'épidémie de grippe porcine "est une crise de notre mode de vie", "une crise de la dégradation écologique", estime Daniel Cohn-Bendit, tête de liste d'EuropeEcologie pour les élections européennes en Ile-de-France qui met en cause, mardi 28 avril, sur France 2, "l'agriculture industrielle".
"Toute cette agriculture industrielle aujourd'hui produit de plus en plus de folie", dit-il, rappelant qu'"on avait eu la vache folle" "Ce qu'on mange, c'est ce qu'on donne aussi aux animaux, alors si on leur donne beaucoup d'antibiotiques et tout ça, nous devenons résistants aux antibiotiques, donc c'est une chaîne infernale qui se développe", a-t-il dit. Selon lui, "en général, ce genre de maladies, ce genre de grippes sont les conséquences de nos modes de vie et donc à long terme, il faut changer nos modes de vie, à court terme il faut un principe de précaution très strict".
L'épidémie de grippe porcine s'étendait mardi matin à l'Europe avec trois cas avérés après son apparition au Mexique, où 152 décès pourraient lui être imputés depuis le 24 avril.
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dimanche 26 avril 2009
Les cigognes sont parties
Et oui ! Elles n'étaient que de passage, comme les autres années.
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dimanche 19 avril 2009
Des cigognes à Dole
Et oui, vous avez bien lu, c'est à Dole et non en Alsace que cette photo a été prise en avril de cette année, et en centre-ville. Dérèglement climatique, vous avez dit "mensonge" ?
Elles avaient l'air de vouloir s'installer sur une des plus hautes cheminées, amenant des branchages pour faire leur nid. L'avenir nous dira si notre ville est vraiment l'endroit idéal pour nicher leur portée.
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Elles avaient l'air de vouloir s'installer sur une des plus hautes cheminées, amenant des branchages pour faire leur nid. L'avenir nous dira si notre ville est vraiment l'endroit idéal pour nicher leur portée.
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Isabelle Nouvellon
jeudi 9 avril 2009
Dans quel monde vit-on ?
Je viens d’apprendre que le marché « des saveurs et des savoir faire » du pays Dolois a été l’objet d’un contrôle sanitaire, suite à une dénonciation « anonyme ».
Je suis atterrée de voir que dans notre pays, de telles pratiques sont « encore » de mise et encouragées.
A qui profite le crime ? Est-ce par jalousie ? Ou réel souci sanitaire ? A mes yeux, ce dernier point n’est pas recevable, chaque exposant ayant le souci permanent de la réglementation des marchés en plein air. L’anonyme aurait du se rendre sur le marché, pour constater que les banques réfrigérées sont bien là. Les légumes ne sont pas aseptisés ou exempts de terre, mais est-ce là le constat de cet anonyme, à qui je rappelle qu’un légume ne doit pas être lavé avant consommation pour ne pas perdre tout son intérêt nutritif.
Les élus verts tiennent à réaffirmer leur entier soutien à la démarche de l’AMAP ainsi qu’aux producteurs de ce fabuleux marché.
Isabelle Nouvellon
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Je suis atterrée de voir que dans notre pays, de telles pratiques sont « encore » de mise et encouragées.
A qui profite le crime ? Est-ce par jalousie ? Ou réel souci sanitaire ? A mes yeux, ce dernier point n’est pas recevable, chaque exposant ayant le souci permanent de la réglementation des marchés en plein air. L’anonyme aurait du se rendre sur le marché, pour constater que les banques réfrigérées sont bien là. Les légumes ne sont pas aseptisés ou exempts de terre, mais est-ce là le constat de cet anonyme, à qui je rappelle qu’un légume ne doit pas être lavé avant consommation pour ne pas perdre tout son intérêt nutritif.
Les élus verts tiennent à réaffirmer leur entier soutien à la démarche de l’AMAP ainsi qu’aux producteurs de ce fabuleux marché.
Isabelle Nouvellon
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Isabelle Nouvellon
mercredi 8 avril 2009
Inauguration semaine développement durable
Intervention d'Isabelle Nouvellon, le 2 avril 2009, sur le marché bio.
Je suis heureuse d’inaugurer la première semaine du développement durable Doloise, et je tiens à remercier les acteurs nombreux qui y contribuent.
Je veux parler des associations qui ont pris la décision de s’engager sur les voix du développement durable, en sensibilisant les scolaires et même le tout public, ou en soutenant les activités qui vont dans ce sens. Et un grand merci, à tout le personnel de l’éducation nationale, qui déplace aujourd’hui beaucoup d’enfants sur ce forum.
Il y a presque un an, la collectivité était en discussion avec l’AMAP et l’association des saveurs et des savoir-faire, aujourd’hui les actes ont suivi puisque tous les quinze jours se tient ici le premier marché bio du pays dolois.
Alors, le développement durable c’est quoi ? Je peux reprendre la célèbre définition du rapport Brundtland qui date de 87 :
« Le développement durable est un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».
Simplement, chaque habitant a le même droit d’utiliser les ressources de la Terre, mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations à venir. C’est agir localement, tout en pensant globalement.
L’application du concept de développement durable n’est pas si simple et il faut chaque fois, penser à changer nos habitudes.
Mais il contribue à améliorer notre qualité de vie et protéger notre santé, tout en préservant la planète.
Ce sont parfois des gestes simples, responsables et efficaces, et même souvent économiques.
(Que ce soit par le choix de notre alimentation, attaché directement à notre santé, mais aussi au mode d’agriculture et donc à la terre.
Que ce soit par la diminution de consommation des fluides (gaz, électricité, eau, pétrole…), attachée aussi à la santé par la réduction de pollution, mais aussi à la préservation des ressources naturelles.
Que ce soit en terme de tri et de réduction des déchets, par le compostage, compost qui revient nourrir la terre, ou le recyclage, arrêt du gaspillage.
Que ce soit en terme d’achats éthiques, attachés au respect de l’humain et à la solidarité, et de choix de matériaux non polluant…..)
Ce sont des gestes que chacun de nous peut faire.
Et la collectivité me direz-vous ? Il en est de même pour elle, bien sûr !
En installant des récupérateurs d’eau de pluie, elle contribue à la préservation des ressources en eau.
En triant le papier, elle contribue à son recyclage.
En protégeant les hérons bihoreaux du bois des acacias, elle protège la biodiversité.
En mettant en place des transports collectifs plus performants ou en dessinant un schéma de déplacements doux ou la véloroute, elle invite les dolois à se déplacer autrement pour réduire la pollution due aux voitures.
En décidant d’un plan pluriannuel d’isolation de ses bâtiments ou en changeant l’éclairage public, elle réduit sa consommation d’énergie.
Beaucoup de choses sont à faire, et ce n’est pas dès demain que nous en verrons les conséquences. Mais pour les générations à venir nous nous devons de faire cet effort, pour que nos enfants / petits enfants continuent à vivre sur une planète riche en couleurs.
Je vous remercie.
Isabelle NOUVELLON
Adjointe chargée du développement durable
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Je suis heureuse d’inaugurer la première semaine du développement durable Doloise, et je tiens à remercier les acteurs nombreux qui y contribuent.
Je veux parler des associations qui ont pris la décision de s’engager sur les voix du développement durable, en sensibilisant les scolaires et même le tout public, ou en soutenant les activités qui vont dans ce sens. Et un grand merci, à tout le personnel de l’éducation nationale, qui déplace aujourd’hui beaucoup d’enfants sur ce forum.
Il y a presque un an, la collectivité était en discussion avec l’AMAP et l’association des saveurs et des savoir-faire, aujourd’hui les actes ont suivi puisque tous les quinze jours se tient ici le premier marché bio du pays dolois.
Alors, le développement durable c’est quoi ? Je peux reprendre la célèbre définition du rapport Brundtland qui date de 87 :
« Le développement durable est un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».
Simplement, chaque habitant a le même droit d’utiliser les ressources de la Terre, mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations à venir. C’est agir localement, tout en pensant globalement.
L’application du concept de développement durable n’est pas si simple et il faut chaque fois, penser à changer nos habitudes.
Mais il contribue à améliorer notre qualité de vie et protéger notre santé, tout en préservant la planète.
Ce sont parfois des gestes simples, responsables et efficaces, et même souvent économiques.
(Que ce soit par le choix de notre alimentation, attaché directement à notre santé, mais aussi au mode d’agriculture et donc à la terre.
Que ce soit par la diminution de consommation des fluides (gaz, électricité, eau, pétrole…), attachée aussi à la santé par la réduction de pollution, mais aussi à la préservation des ressources naturelles.
Que ce soit en terme de tri et de réduction des déchets, par le compostage, compost qui revient nourrir la terre, ou le recyclage, arrêt du gaspillage.
Que ce soit en terme d’achats éthiques, attachés au respect de l’humain et à la solidarité, et de choix de matériaux non polluant…..)
Ce sont des gestes que chacun de nous peut faire.
Et la collectivité me direz-vous ? Il en est de même pour elle, bien sûr !
En installant des récupérateurs d’eau de pluie, elle contribue à la préservation des ressources en eau.
En triant le papier, elle contribue à son recyclage.
En protégeant les hérons bihoreaux du bois des acacias, elle protège la biodiversité.
En mettant en place des transports collectifs plus performants ou en dessinant un schéma de déplacements doux ou la véloroute, elle invite les dolois à se déplacer autrement pour réduire la pollution due aux voitures.
En décidant d’un plan pluriannuel d’isolation de ses bâtiments ou en changeant l’éclairage public, elle réduit sa consommation d’énergie.
Beaucoup de choses sont à faire, et ce n’est pas dès demain que nous en verrons les conséquences. Mais pour les générations à venir nous nous devons de faire cet effort, pour que nos enfants / petits enfants continuent à vivre sur une planète riche en couleurs.
Je vous remercie.
Isabelle NOUVELLON
Adjointe chargée du développement durable
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Isabelle Nouvellon
dimanche 5 avril 2009
Prochains Conseils Municipaux
Les prochaines dates à retenir :
Le Mardi 28 avril 2009 à partir de 20 heures, salle Edgar Faure.
Le Jeudi 28 mai 2009 à 20 h.
Venez nombreux assister à ces assemblées.
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Le Mardi 28 avril 2009 à partir de 20 heures, salle Edgar Faure.
Le Jeudi 28 mai 2009 à 20 h.
Venez nombreux assister à ces assemblées.
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Conseil Municipal,
Isabelle Nouvellon
lundi 30 mars 2009
L'opposition "contre" l'Eurovéloroute
Il est des raisons que la raison ignore !
Au dernier conseil municipal de mars, l’opposition a voté contre la proposition de tracé d’Eurovéloroute 6 (Nantes/Budapest), qui passe au plus près de la ville, c’est-à-dire le long du port, faisant ainsi profiter les cyclotouristes d’une des plus belles vues de Dole.
Curieusement, M. Gilbert Barbier, représentant l’opposition, a attaqué les propositions du Conseil Général du Jura, maître d’ouvrage, arguant de la volonté de celui-ci de renouveler un projet dispendieux. Curieusement, parce que l’ancien maire avait validé dans le précédent mandat un projet, qu’il n’avait pas trouvé, à ce moment-là, dispendieux.
A cette époque, nous avions manifesté notre désapprobation sur un tracé qui ignorait notre ville en suivant la voie ferrée « Jules Grévy ».
S’il est des votes différents reposant sur une vision politique différente, il est incompréhensible d’avoir ce type d’attitude anti.
Heureusement, notre majorité a validé ce tracé qui verra le jour en 2011 reliant d’un côté la mer Baltique, de l’autre côté l’océan Atlantique.
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Au dernier conseil municipal de mars, l’opposition a voté contre la proposition de tracé d’Eurovéloroute 6 (Nantes/Budapest), qui passe au plus près de la ville, c’est-à-dire le long du port, faisant ainsi profiter les cyclotouristes d’une des plus belles vues de Dole.
Curieusement, M. Gilbert Barbier, représentant l’opposition, a attaqué les propositions du Conseil Général du Jura, maître d’ouvrage, arguant de la volonté de celui-ci de renouveler un projet dispendieux. Curieusement, parce que l’ancien maire avait validé dans le précédent mandat un projet, qu’il n’avait pas trouvé, à ce moment-là, dispendieux.
A cette époque, nous avions manifesté notre désapprobation sur un tracé qui ignorait notre ville en suivant la voie ferrée « Jules Grévy ».
S’il est des votes différents reposant sur une vision politique différente, il est incompréhensible d’avoir ce type d’attitude anti.
Heureusement, notre majorité a validé ce tracé qui verra le jour en 2011 reliant d’un côté la mer Baltique, de l’autre côté l’océan Atlantique.
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Conseil Municipal,
Marc Borneck,
Transports
vendredi 27 mars 2009
Les Verts "contre" l'aéroport de Tavaux
Lors du conseil d’agglomération du grand Dole, du 25 mars dernier, était présenté un rapport sur « Aéroport Régional de Dole-Tavaux, prolongation d’un an de la convention de gestion ».
La participation financière de l’agglomération se monte à 36 530 euros afin d’expertiser le futur de la plateforme aéroportuaire et son positionnement économique.
Intervention d’Isabelle Nouvellon pour le groupe des Verts :
« Je veux parler de développement durable dont ce projet ne fait pas partie. Je pense qu’il n’est pas raisonnable de soutenir une telle structure. Au-delà de toutes les nuisances qu’un aéroport peut engendrer et dont je vous épargne la liste, l’aéroport de Tavaux est d’une part un véritable gouffre financier, d’autre part n’est pas vivable à l’échelle du seul pays Dolois.
D’autant plus, qu’à quelques kilomètres d’ici, d’autres s’obstinent également à faire de même, je veux parler de l’aéroport de Longvic.
Nous ne sommes pas loin d’aéroports nationaux, à peine deux heures de Lyon, Genève ou Bâle-Mulhouse, et je ne vois pas l’intérêt de soutenir un tel projet.
Ces finances pourraient servir à d’autres moyens de déplacements plus doux.
C’est pourquoi, je voterai contre ce rapport ».
7 personnes ont voté contre, 9 personnes se sont abstenues sur ce rapport.
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La participation financière de l’agglomération se monte à 36 530 euros afin d’expertiser le futur de la plateforme aéroportuaire et son positionnement économique.
Intervention d’Isabelle Nouvellon pour le groupe des Verts :
« Je veux parler de développement durable dont ce projet ne fait pas partie. Je pense qu’il n’est pas raisonnable de soutenir une telle structure. Au-delà de toutes les nuisances qu’un aéroport peut engendrer et dont je vous épargne la liste, l’aéroport de Tavaux est d’une part un véritable gouffre financier, d’autre part n’est pas vivable à l’échelle du seul pays Dolois.
D’autant plus, qu’à quelques kilomètres d’ici, d’autres s’obstinent également à faire de même, je veux parler de l’aéroport de Longvic.
Nous ne sommes pas loin d’aéroports nationaux, à peine deux heures de Lyon, Genève ou Bâle-Mulhouse, et je ne vois pas l’intérêt de soutenir un tel projet.
Ces finances pourraient servir à d’autres moyens de déplacements plus doux.
C’est pourquoi, je voterai contre ce rapport ».
7 personnes ont voté contre, 9 personnes se sont abstenues sur ce rapport.
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Grand Dole,
Isabelle Nouvellon,
Transports
vendredi 13 mars 2009
Véloroute Nantes-Budapest
Une réunion entre la ville, le conseil général, VNF, et les acteurs de la mise en oeuvre du projet "eurovéloroute des fleuves" a eu lieu le 25 février. Isabelle Nouvellon et Marc Borneck y participaient au titre de leurs délégations.
Le conseil général du Jura a présenté le tracé de la traversée de Dole, recevant l'approbation générale des présents, après plusieurs hypothèses dessinées au cours des dernières années.
Ce tracé venant de Besançon le long du canal Rhin-Rhône, le quittera pour suivre la ligne SNCF Jules Grévy. Pour passer le canal Charles Quint, une passerelle sera fixée au pont SNCF (sous condition d'acceptation de la SNCF), puis la voie redescendra en direction du camping pour poursuivre le long du canal Charles Quint jusqu'à son embranchement avec le canal Rhin-Rhône. Une passerelle flottante sera installée sous le pont de la rampe du cours, permettant ainsi l'accès au parking le long du canal RR, sans franchissement de route.
Le tracé empreintera la voie déjà existante le long de ce canal. Cette voie sera prolongée en rognant sur la route (avant le feu) pour atteindre le dessous du pont de la charité et aboutir au jardin Philippe.
Le souci d'Isabelle Nouvellon d'un aménagement prenant en compte le site classé a été entendu par le conseil général qui mettra à disposition un paysagiste sur ce sujet.
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Le conseil général du Jura a présenté le tracé de la traversée de Dole, recevant l'approbation générale des présents, après plusieurs hypothèses dessinées au cours des dernières années.
Ce tracé venant de Besançon le long du canal Rhin-Rhône, le quittera pour suivre la ligne SNCF Jules Grévy. Pour passer le canal Charles Quint, une passerelle sera fixée au pont SNCF (sous condition d'acceptation de la SNCF), puis la voie redescendra en direction du camping pour poursuivre le long du canal Charles Quint jusqu'à son embranchement avec le canal Rhin-Rhône. Une passerelle flottante sera installée sous le pont de la rampe du cours, permettant ainsi l'accès au parking le long du canal RR, sans franchissement de route.
Le tracé empreintera la voie déjà existante le long de ce canal. Cette voie sera prolongée en rognant sur la route (avant le feu) pour atteindre le dessous du pont de la charité et aboutir au jardin Philippe.
Le souci d'Isabelle Nouvellon d'un aménagement prenant en compte le site classé a été entendu par le conseil général qui mettra à disposition un paysagiste sur ce sujet.
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Orientations budgétaires
Ecoutez le conseil municipal de février et le rapport sur les orientations budgétaires de la ville :
en première partie : le rapport financier général par Ako Hamdaoui, adjoint aux finances suivi des orientations en terme de développement durable par Isabelle Nouvellon, adjointe chargée du développement durable ;
en seconde partie : les orientations en terme d'économie d'énergie et de déchets par Marc Borneck, délégué à ces questions ;
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en première partie : le rapport financier général par Ako Hamdaoui, adjoint aux finances suivi des orientations en terme de développement durable par Isabelle Nouvellon, adjointe chargée du développement durable ;
en seconde partie : les orientations en terme d'économie d'énergie et de déchets par Marc Borneck, délégué à ces questions ;
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Conseil Municipal
vendredi 27 février 2009
Orientations 2009 DD
Une première dans la discussion des orientations budgétaires : l'assemblée a mis en avant la prise en compte du développement durable dans les projets communaux. Je vous en livre quelques extraits :
"En adéquation avec les capacités techniques et financières du moment, la municipalité souhaite intégrer dans ses projets une démarche systématique de développement durable.
Il s'agira de valoriser l'empreinte écologique de la ville et de ses habitants, quelque soit le domaine considéré, en menant des actions telles que :
- la sensibilisation et valorisation d'un urbanisme durable auprès des aménageurs
- la promotion des voies vertes et des cheminements doux, un schéma de pistes cyclables entamé cette année par une première tranche de travaux reliant les Mesnils Pasteur au Poiset.
- réduction et optimisation des consommations énergétiques par un plan pluriannuel sur l'isolation des bâtiments publics,
- le recours à des solutions les moins polluantes possibles, réduction des produits chimiques pour le ménage et aussi sur les espaces verts, solution moins polluante aussi pour la flotte automobile.
- récupération et utilisation accrue de l'eau de pluie, comme un récupérateur d'eau de pluie pour les serres municipales et le garage, réduction des consommations d'eau
- optimisation du recyclage des déchets, comme le compostage
- faire de la collectivité, une collectivité éco-responsable, par la réduction de consommation de papier, des gestes simples comme éteindre son écran d'ordinateur...
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"En adéquation avec les capacités techniques et financières du moment, la municipalité souhaite intégrer dans ses projets une démarche systématique de développement durable.
Il s'agira de valoriser l'empreinte écologique de la ville et de ses habitants, quelque soit le domaine considéré, en menant des actions telles que :
- la sensibilisation et valorisation d'un urbanisme durable auprès des aménageurs
- la promotion des voies vertes et des cheminements doux, un schéma de pistes cyclables entamé cette année par une première tranche de travaux reliant les Mesnils Pasteur au Poiset.
- réduction et optimisation des consommations énergétiques par un plan pluriannuel sur l'isolation des bâtiments publics,
- le recours à des solutions les moins polluantes possibles, réduction des produits chimiques pour le ménage et aussi sur les espaces verts, solution moins polluante aussi pour la flotte automobile.
- récupération et utilisation accrue de l'eau de pluie, comme un récupérateur d'eau de pluie pour les serres municipales et le garage, réduction des consommations d'eau
- optimisation du recyclage des déchets, comme le compostage
- faire de la collectivité, une collectivité éco-responsable, par la réduction de consommation de papier, des gestes simples comme éteindre son écran d'ordinateur...
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Conseil Municipal,
Isabelle Nouvellon
mercredi 25 février 2009
Développement durable au lycée
Les élus Verts chargés du développement durable, Marc Borneck pour l'agglomération de Dole, et Isabelle Nouvellon pour la ville, sont allés rencontrer les élèves de seconde du lycée Mont Roland, à la demande de leur professeure.
Devant un public très attentif, ils ont exposé comment, concrètement, les collectivités pouvaient intervenir sur ce sujet.
Après un rapide rappel de la nécessité de l'application du développement durable dans les politiques, face au réchauffement climatique et à la hausse de la démographie, quelques exemples leur ont été exposés : création de pistes cyclables ou transport en commun (pour réduire la pollution des véhicules personnels), gestion et réduction des déchets (compost, recyclage...), réduction des fluides (que ce soit consommation eau, énergie...) et importance de l'évolution des énergies renouvelables, arrêt des produits chimiques (dans le choix des produits ménagers, des herbicides ou pesticides...) pour la santé de chacun...
Un excellent échange est intervenu entre les élèves et les élus, démontrant que les jeunes s'intéressent à la préservation de la planète.
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Devant un public très attentif, ils ont exposé comment, concrètement, les collectivités pouvaient intervenir sur ce sujet.
Après un rapide rappel de la nécessité de l'application du développement durable dans les politiques, face au réchauffement climatique et à la hausse de la démographie, quelques exemples leur ont été exposés : création de pistes cyclables ou transport en commun (pour réduire la pollution des véhicules personnels), gestion et réduction des déchets (compost, recyclage...), réduction des fluides (que ce soit consommation eau, énergie...) et importance de l'évolution des énergies renouvelables, arrêt des produits chimiques (dans le choix des produits ménagers, des herbicides ou pesticides...) pour la santé de chacun...
Un excellent échange est intervenu entre les élèves et les élus, démontrant que les jeunes s'intéressent à la préservation de la planète.
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Isabelle Nouvellon,
Marc Borneck
vendredi 20 février 2009
Un éclairage public plus performant et moins coûteux !
Réduire la consommation énergétique de la Ville est un objectif prioritaire du mandat de l’équipe municipale. Première étape : la révision de l’éclairage public dolois dès 2009.
“Il est urgent de réaliser que la crise financière que nous traversons est aussi une crise énergétique. Chacun à son niveau peut agir en réduisant sa consommation d’électricité, de chauffage et en favorisant des modes de transports doux pour ses déplacements quotidiens” annonce Marc Borneck, conseiller municipal délégué aux économies d’énergies. La Ville de Dole a décidé d’agir dans ce sens en révisant son éclairage public.
Depuis plusieurs mois, le service électricité réalise un inventaire des points d’éclairage de la ville. Plus de 80 % des points ont d’ors et déjà été recensés et vérifiés.
Cette étude fait état de nombreux luminaires peu éclairants, forts consommateurs et assez fragiles. Il est donc nécessaire de leur substituer de nouveaux lampadaires plus économes et plus performants.
La priorité ira au remplacement des lampadaires de type “boules”, comme ceux situés le long du port, fonctionnant au mercure. Ce remplacement qui débutera en 2009 s’étalera sur plusieurs années. Le matériel sera certes plus onéreux, mais grâce aux économies réalisées sur la consommation, le retour sur investissement se fera en quelques années.
Les nouveaux lampadaires seront équipés d’ampoules basses consommation, ainsi que de ballasts électroniques. Ces petits éléments qui se fixent sur les luminaires, permettent de réduire la consommation d’électricité tout en produisant plus de lumière et en augmentant la durée de vie des ampoules.
“C’est un avantage considérable aussi du point de vue du personnel. Avec une ampoule d’une durée de vie de 7 000 heures contre 3 000 heures pour une ampoule classique, nous diminuons aussi le nombre d’interventions sur le terrain des agents de la ville” ajoute Marc Borneck.
Offrir un éclairage plus adapté
En parallèle à cette étude sur l’éclairage public de la ville en général, une réflexion est actuellement menée sur l’éclairage d’ édifices ou lieux publics dolois.
Il a ainsi été constaté que certaines écoles souffrent d’un manque d’éclairage, tout comme certaines salles de la Médiathèque.
A contrario, le Pont de la Corniche présente un sur éclairage tout comme le parking des terreaux. Ce parking est éclairé en permanence, 24 h/24, ce qui ne semble pas nécessaire. La durée d’ éclairage va donc être réduite et les ampoules remplacées par des basses consommation. La consommation d'éclairage du parking sera ainsi divisée par deux sans nuire aux utilisateurs.
“Ce n’est qu’une première étape conclut Marc Borneck nous avons encore beaucoup de travail à Dole. La piscine, par exemple, est un gouffre financier en matière de consommation d’énergie ! Nous allons aussi nous attaquer au problème du chauffage des bâtiments publics.
Il existe des solutions pour diminuer notre consommation énergétique et faire, en plus, réaliser des économies à la collectivité. Alors, pourquoi s’en priver ?”
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“Il est urgent de réaliser que la crise financière que nous traversons est aussi une crise énergétique. Chacun à son niveau peut agir en réduisant sa consommation d’électricité, de chauffage et en favorisant des modes de transports doux pour ses déplacements quotidiens” annonce Marc Borneck, conseiller municipal délégué aux économies d’énergies. La Ville de Dole a décidé d’agir dans ce sens en révisant son éclairage public.
Depuis plusieurs mois, le service électricité réalise un inventaire des points d’éclairage de la ville. Plus de 80 % des points ont d’ors et déjà été recensés et vérifiés.
Cette étude fait état de nombreux luminaires peu éclairants, forts consommateurs et assez fragiles. Il est donc nécessaire de leur substituer de nouveaux lampadaires plus économes et plus performants.
La priorité ira au remplacement des lampadaires de type “boules”, comme ceux situés le long du port, fonctionnant au mercure. Ce remplacement qui débutera en 2009 s’étalera sur plusieurs années. Le matériel sera certes plus onéreux, mais grâce aux économies réalisées sur la consommation, le retour sur investissement se fera en quelques années.
Les nouveaux lampadaires seront équipés d’ampoules basses consommation, ainsi que de ballasts électroniques. Ces petits éléments qui se fixent sur les luminaires, permettent de réduire la consommation d’électricité tout en produisant plus de lumière et en augmentant la durée de vie des ampoules.
“C’est un avantage considérable aussi du point de vue du personnel. Avec une ampoule d’une durée de vie de 7 000 heures contre 3 000 heures pour une ampoule classique, nous diminuons aussi le nombre d’interventions sur le terrain des agents de la ville” ajoute Marc Borneck.
Offrir un éclairage plus adapté
En parallèle à cette étude sur l’éclairage public de la ville en général, une réflexion est actuellement menée sur l’éclairage d’ édifices ou lieux publics dolois.
Il a ainsi été constaté que certaines écoles souffrent d’un manque d’éclairage, tout comme certaines salles de la Médiathèque.
A contrario, le Pont de la Corniche présente un sur éclairage tout comme le parking des terreaux. Ce parking est éclairé en permanence, 24 h/24, ce qui ne semble pas nécessaire. La durée d’ éclairage va donc être réduite et les ampoules remplacées par des basses consommation. La consommation d'éclairage du parking sera ainsi divisée par deux sans nuire aux utilisateurs.
“Ce n’est qu’une première étape conclut Marc Borneck nous avons encore beaucoup de travail à Dole. La piscine, par exemple, est un gouffre financier en matière de consommation d’énergie ! Nous allons aussi nous attaquer au problème du chauffage des bâtiments publics.
Il existe des solutions pour diminuer notre consommation énergétique et faire, en plus, réaliser des économies à la collectivité. Alors, pourquoi s’en priver ?”
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Marc Borneck
jeudi 5 février 2009
Nos enfants nous accuseront
Vendredi soir 13 février, au cinéma le Studio (MJC), sera projeté le film documentaire NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT. L'AMAP a fait venir des intervenants pour débattre autour du sujet après la projection (Didier THEVENEZ, responsable de la cuisine centrale de Lons, le docteur Pascal JOBEZ, un représentant du FCPE Jura, un représentant du CODES)
Un pot sera offert en fin de soirée, ceux qui le souhaitent peuvent apporter un gâteau.
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mardi 27 janvier 2009
Question : Leclerc
Question de Marc Borneck au maire, lors du conseil municipal du 20 janvier 2009.
Depuis plusieurs semaines, la presse se fait l’écho d’une demande d’ouverture d’un nouvel hypermarché à l’entrée de Dole sur la commune de Crissey.
Attendu que sur le bassin dolois, l’offre en matière commerciale comprend déjà :
- un Géant Casino
- un Cora
- deux Intermarchés
- un Colruyt
- une multitude de hard discounteurs, Lidl, Netto, Ed et autres Aldi.
Attendu que sur ce même bassin trois zones commerciales sont parfaitement identifiées.
Et qu’une zone supplémentaire annihilerait les différentes décisions prises depuis des années en matière d’aménagement de l’espace.
Attendu que la zone de chalandise n’a pas connue de changement majeur en terme de population consommatrice depuis de nombreuses années et que l’implantation d’un nouvel hypermarché aurait des répercutions néfastes pour le commerce local qui est déjà dans un équilibre précaire.
Vu les emplois occupés dans le secteur du petit commerce et l’activité de nombreux indépendants à Dole qui seraient directement menacés par une nouvelle zone commerciale et qu’il convient de défendre.
Vu l’impact d’un trafic de transit que cette zone générerait à travers les communes de Dole et de Villette les Dole.
Vu les risques potentiels de dégradation à l’environnement naturel que ce projet risque d’entrainer notamment aux surfaces agricoles.
Considérant que la commune de Dole est directement concernée par un certain nombre d’impacts du projet.
Considérant qu’il n’est donc pas souhaitable de voir s’installer un hypermarché ou tout autre centre commercial parce qu’un tel projet engagerait toute la région doloise et pas uniquement la ville de Dole dans un développement contraire à l’intérêt social, commercial et environnemental de ce territoire.
Je demande la position de la collectivité sur ce projet. Merci.
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Depuis plusieurs semaines, la presse se fait l’écho d’une demande d’ouverture d’un nouvel hypermarché à l’entrée de Dole sur la commune de Crissey.
Attendu que sur le bassin dolois, l’offre en matière commerciale comprend déjà :
- un Géant Casino
- un Cora
- deux Intermarchés
- un Colruyt
- une multitude de hard discounteurs, Lidl, Netto, Ed et autres Aldi.
Attendu que sur ce même bassin trois zones commerciales sont parfaitement identifiées.
Et qu’une zone supplémentaire annihilerait les différentes décisions prises depuis des années en matière d’aménagement de l’espace.
Attendu que la zone de chalandise n’a pas connue de changement majeur en terme de population consommatrice depuis de nombreuses années et que l’implantation d’un nouvel hypermarché aurait des répercutions néfastes pour le commerce local qui est déjà dans un équilibre précaire.
Vu les emplois occupés dans le secteur du petit commerce et l’activité de nombreux indépendants à Dole qui seraient directement menacés par une nouvelle zone commerciale et qu’il convient de défendre.
Vu l’impact d’un trafic de transit que cette zone générerait à travers les communes de Dole et de Villette les Dole.
Vu les risques potentiels de dégradation à l’environnement naturel que ce projet risque d’entrainer notamment aux surfaces agricoles.
Considérant que la commune de Dole est directement concernée par un certain nombre d’impacts du projet.
Considérant qu’il n’est donc pas souhaitable de voir s’installer un hypermarché ou tout autre centre commercial parce qu’un tel projet engagerait toute la région doloise et pas uniquement la ville de Dole dans un développement contraire à l’intérêt social, commercial et environnemental de ce territoire.
Je demande la position de la collectivité sur ce projet. Merci.
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Marc Borneck
Opération PASSIFLORE
La municipalité de Dole soutient l'opération de sensibilisation de réduction des déchets "PASSIFLORE" organisée par "Serre Vivante" et "Jura Nature Environnement" sur l'agglomération du Grand Dole.
Marie-Agnès Chalumeaux et Isabelle Nouvellon ont participé samedi matin sur le site d'Intermarché à l'action "chariot prévention" pour démontrer que lorsque nous achetons en vrac et en + grande quantité, les emballages sont moins importants, et le coût financier moindre.
Vous retrouvez ci-contre l'analyse de cette action.
D'autres rendez-vous sont prévus, à ne pas manquer
Quand ? Quoi ? Où ?
Samedi 14 Février de 9h30 à 12 h Formation : comment réussir du bon compost ? Ateliers Pasteur (27 rue de la Sous Préfecture)
Lundi 16 février, 20h30 Conférence : Envisager le compostage de proximité en milieu urbain Salle Edgar Faure, mairie de Dole
Jeudi 26 Mars, 18h Conférence : mettre en place un système collectif de gestion de couches lavables Salle Edgar Faure, mairie de Dole (avec Vincent GAILLARD de l’ASCOMADE)
Mercredi 15 Avril de 13h3 à 19h Formation : le tri dans le Jura, visite du centre de tri à Lons Départ en bus de l’avenue de Lahr (merci de s'inscrire : passiflore.jereduismesdechets@orange.fr)
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Marie-Agnès Chalumeaux et Isabelle Nouvellon ont participé samedi matin sur le site d'Intermarché à l'action "chariot prévention" pour démontrer que lorsque nous achetons en vrac et en + grande quantité, les emballages sont moins importants, et le coût financier moindre.
Vous retrouvez ci-contre l'analyse de cette action.
D'autres rendez-vous sont prévus, à ne pas manquer
Quand ? Quoi ? Où ?
Samedi 14 Février de 9h30 à 12 h Formation : comment réussir du bon compost ? Ateliers Pasteur (27 rue de la Sous Préfecture)
Lundi 16 février, 20h30 Conférence : Envisager le compostage de proximité en milieu urbain Salle Edgar Faure, mairie de Dole
Jeudi 26 Mars, 18h Conférence : mettre en place un système collectif de gestion de couches lavables Salle Edgar Faure, mairie de Dole (avec Vincent GAILLARD de l’ASCOMADE)
Mercredi 15 Avril de 13h3 à 19h Formation : le tri dans le Jura, visite du centre de tri à Lons Départ en bus de l’avenue de Lahr (merci de s'inscrire : passiflore.jereduismesdechets@orange.fr)
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Isabelle Nouvellon,
M.A Chalumeaux
dimanche 18 janvier 2009
Adhésion au Conservatoire National Botanique de Franche-Comté
Le conseil municipal de Dole du mois de décembre 2008 a approuvé à l'unanimité, la décision d'adhérer au Conservatoire Botanique National de Franche-Comté.
En effet, son rayonnement national étant menacé, j'ai proposé l'adhésion de la ville au Conservatoire Botanique, où 2 élus dolois siègeront.
Le conservatoire a pour objet la gestion, l'animation et le développement des activités d'un Conservatoire botanique national sur son aire d’activité :
- Connaissance de la flore sauvage et des habitats naturels,
- Conservation in situ et ex situ de la flore rare et/ou menacée,
- Expertise et appui technique,
- Information du public et des pouvoirs publics.
Il a vocation à nouer des partenariats privilégiés notamment avec l’Etat et les collectivités. Le Conservatoire consacre son activité à la connaissance, la conservation, l'évaluation et la valorisation du patrimoine végétal dans toute sa diversité. Il a vocation à intervenir sur la région Franche-Comté et dans les départements voisins après convention avec les CBN concernés.
Il entre dans le champ de ses compétences :
− de répondre aux besoins d'information, de formation, d'expertise et d'appui technique, notamment des collectivités territoriales, des services de l'Etat, des établissements publics et des organismes habilités pour la gestion des espaces naturels et de laménagement du territoire,
− de sensibiliser et informer les différents publics et les médias concernés par la conservation du patrimoine végétal et, notamment, de mettre en œuvre ou de participer à des actions pédagogiques,
− de participer à la mobilisation et de mettre à la disposition des établissements de recherche, des services de développement et des opérateurs de valorisation, la connaissance nécessaire et son savoir faire,
− de participer au développement économique, scientifique et culturel de son aire d’activité,
− de contribuer au renforcement des capacités de recherche en Franche-Comté et notamment de l’université de FrancheComté,
− d'assurer, si la responsabilité lui en est confiée, la gestion de collections d'intérêt scientifique, patrimonial ou culturel,
Ces missions s'exercent à l'échelle locale, départementale, régionale, nationale, européenne et internationale. Dans ce but, des accords de coopération peuvent être établis avec des organismes français ou internationaux concernés. Les missions du Conservatoire botanique seront réalisées en complémentarité et dans le souci permanent d’une étroite concertation avec tous les organismes intervenant déjà sur l’un ou l’autre de ces thèmes en Franche-Comté. Des partenariats pourront être institués et seront matérialisés par des conventions particulières, dans le souci de renforcer la cohésion et l’efficacité des objectifs visés.
Dans le domaine de la flore sauvage et des habitats naturels, le Conservatoire botanique engage des actions conformes au cahier des charges des Conservatoires botaniques nationaux, défini par le ministère chargé de la protection de la nature.
Le Conservatoire pourra participer au réseau des Conservatoires botaniques nationaux après obtention de son agrément.
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En effet, son rayonnement national étant menacé, j'ai proposé l'adhésion de la ville au Conservatoire Botanique, où 2 élus dolois siègeront.
Le conservatoire a pour objet la gestion, l'animation et le développement des activités d'un Conservatoire botanique national sur son aire d’activité :
- Connaissance de la flore sauvage et des habitats naturels,
- Conservation in situ et ex situ de la flore rare et/ou menacée,
- Expertise et appui technique,
- Information du public et des pouvoirs publics.
Il a vocation à nouer des partenariats privilégiés notamment avec l’Etat et les collectivités. Le Conservatoire consacre son activité à la connaissance, la conservation, l'évaluation et la valorisation du patrimoine végétal dans toute sa diversité. Il a vocation à intervenir sur la région Franche-Comté et dans les départements voisins après convention avec les CBN concernés.
Il entre dans le champ de ses compétences :
− de répondre aux besoins d'information, de formation, d'expertise et d'appui technique, notamment des collectivités territoriales, des services de l'Etat, des établissements publics et des organismes habilités pour la gestion des espaces naturels et de laménagement du territoire,
− de sensibiliser et informer les différents publics et les médias concernés par la conservation du patrimoine végétal et, notamment, de mettre en œuvre ou de participer à des actions pédagogiques,
− de participer à la mobilisation et de mettre à la disposition des établissements de recherche, des services de développement et des opérateurs de valorisation, la connaissance nécessaire et son savoir faire,
− de participer au développement économique, scientifique et culturel de son aire d’activité,
− de contribuer au renforcement des capacités de recherche en Franche-Comté et notamment de l’université de FrancheComté,
− d'assurer, si la responsabilité lui en est confiée, la gestion de collections d'intérêt scientifique, patrimonial ou culturel,
Ces missions s'exercent à l'échelle locale, départementale, régionale, nationale, européenne et internationale. Dans ce but, des accords de coopération peuvent être établis avec des organismes français ou internationaux concernés. Les missions du Conservatoire botanique seront réalisées en complémentarité et dans le souci permanent d’une étroite concertation avec tous les organismes intervenant déjà sur l’un ou l’autre de ces thèmes en Franche-Comté. Des partenariats pourront être institués et seront matérialisés par des conventions particulières, dans le souci de renforcer la cohésion et l’efficacité des objectifs visés.
Dans le domaine de la flore sauvage et des habitats naturels, le Conservatoire botanique engage des actions conformes au cahier des charges des Conservatoires botaniques nationaux, défini par le ministère chargé de la protection de la nature.
Le Conservatoire pourra participer au réseau des Conservatoires botaniques nationaux après obtention de son agrément.
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Isabelle Nouvellon
lundi 5 janvier 2009
Voeux de Paix
Il y a quelques années, le poète Guillevic a écrit ‘ Car on tue dans le monde, et tout massacre nous vieillit’
Permettez à l’octogénaire que je suis d’exprimer la souffrance toujours aussi neuve qui l’étreint à l’énoncé de la litanie quotidienne des massacres.
Puisse un sursaut général rendre par la négociation son pays, sa terre au peuple palestinien. Puissent les peuples palestiniens et israéliens en trouver la voie et les moyens et finir par s’entendre à égalité, librement et directement.
Puissent les chroniques de la douleur palestinienne devenir chants d’apothéose et des jardins de vie comme le prophétise Darwich.
Guillevic (1988)
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Permettez à l’octogénaire que je suis d’exprimer la souffrance toujours aussi neuve qui l’étreint à l’énoncé de la litanie quotidienne des massacres.
Puisse un sursaut général rendre par la négociation son pays, sa terre au peuple palestinien. Puissent les peuples palestiniens et israéliens en trouver la voie et les moyens et finir par s’entendre à égalité, librement et directement.
Puissent les chroniques de la douleur palestinienne devenir chants d’apothéose et des jardins de vie comme le prophétise Darwich.
Guillevic (1988)
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vendredi 2 janvier 2009
Protection des Bihoreaux à Rochebelle
Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel de Franche-Comté - AVIS N°2008-15
Date validation officielle : 18/09/2008
Objet : Arrêté préfectoral de protection de biotope en faveur du Bihoreau gris à Dole (39) - Vote : Avis favorable
Examen par le Groupe de travail "Espaces et Espèces protégés" du CSRPN
Le groupe de travail, réuni le 4 septembre 2008, a examiné la faisabilité d’un arrêté préfectoral de biotope pour assurer la protection d’une colonie de Bihoreau gris (Nycticorax nycticorax) à Dole - 39 (lieu dit les Perrières) à la demande de la Direction régionale de l’environnement de Franche-Comté et présenté par Yves LE JEAN (DIREN).
Examen par l’assemblée plénière du CSRPN
Lors de la séance plénière du 18 septembre 2008, les membres du CSRPN ont entendu les conclusions de M. Sébastien Y. ROUE, animateur du groupe de travail.
Vu la demande d'avis formulée par la DIREN Franche-Comté,
Considérant :
- que cette espèce figure dans la Directive oiseaux (annexe 1),
- que cette espèce figure dans la liste des espèces protégées en France (arrêté ministériel du 17 avril 1981),
- que cette espèce figure sur la liste rouge des espèces menacées en Franche-Comté,
- qu’il s’agit des seuls site et colonie de reproduction en Franche-Comté,
- le degré d’urgence de conservation de cette forêt urbaine,
Avis du CSRPN N° 2008-15
Le CSRPN émet un avis favorable unanime sur la demande de mise en protection par arrêté préfectoral de protection de biotope d’un parc urbain à Dole afin de protéger la colonie de Bihoreau gris.
Le CSRPN propose que soit étudié, en complément, la possibilité de mise en place d’un espace boisé classé.
Le Président du CSRPN
Michel CAMPY
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Date validation officielle : 18/09/2008
Objet : Arrêté préfectoral de protection de biotope en faveur du Bihoreau gris à Dole (39) - Vote : Avis favorable
Examen par le Groupe de travail "Espaces et Espèces protégés" du CSRPN
Le groupe de travail, réuni le 4 septembre 2008, a examiné la faisabilité d’un arrêté préfectoral de biotope pour assurer la protection d’une colonie de Bihoreau gris (Nycticorax nycticorax) à Dole - 39 (lieu dit les Perrières) à la demande de la Direction régionale de l’environnement de Franche-Comté et présenté par Yves LE JEAN (DIREN).
Examen par l’assemblée plénière du CSRPN
Lors de la séance plénière du 18 septembre 2008, les membres du CSRPN ont entendu les conclusions de M. Sébastien Y. ROUE, animateur du groupe de travail.
Vu la demande d'avis formulée par la DIREN Franche-Comté,
Considérant :
- que cette espèce figure dans la Directive oiseaux (annexe 1),
- que cette espèce figure dans la liste des espèces protégées en France (arrêté ministériel du 17 avril 1981),
- que cette espèce figure sur la liste rouge des espèces menacées en Franche-Comté,
- qu’il s’agit des seuls site et colonie de reproduction en Franche-Comté,
- le degré d’urgence de conservation de cette forêt urbaine,
Avis du CSRPN N° 2008-15
Le CSRPN émet un avis favorable unanime sur la demande de mise en protection par arrêté préfectoral de protection de biotope d’un parc urbain à Dole afin de protéger la colonie de Bihoreau gris.
Le CSRPN propose que soit étudié, en complément, la possibilité de mise en place d’un espace boisé classé.
Le Président du CSRPN
Michel CAMPY
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